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 Dentisterie holistique

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geranium
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MessageSujet: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 16:58

Dentisterie holistique : plombages et métaux

Danger pour la santé


Depuis quelques années la dentisterie holistique, parfois appelée énergétique, connaît un véritable engouement. La polémique sur le plombage a permis de réaliser que la nature des métaux insérés en bouche peut altérer notre état de santé et contribuer à la genèse de maladies. Cette prise de conscience est salvatrice mais insuffisante. On a tendance à croire (ou à faire croire) que le problème se limite au mercure. En réalité la toxicité du plombage n'est que la partie émergée de l'iceberg. Les autres métaux employés en dentisterie (couronnes, bridges, implants, dentiers à châssis métallique, appareillages d'orthodontie, coiffes pour les dents de lait) posent également problème et sont la source d'une intoxication aussi importante que le plombage.

Le problème du métal


Tout métal placé en bouche réagit inévitablement au contact de la salive. Il en résulte une corrosion qui s'accompagne de la production de microcourants électriques appelés galvanisme buccal. Ces courants électriques perturbent le fonctionnement cellulaire ainsi que le champ électromagnétique du corps et contribuent à la genèse de troubles, nerveux en particuliers. De plus, la corrosion s’accompagne de l'émission d'ions qui sont arrachés aux métaux et génèrent un flux de particules métalliques. Ces particules diffusent dans les tissus environnants (dent, gencive, os) et son avalées avec la salive. Même si certains sont plus nocifs que d’autres, tous les métaux sans exception employés en art dentaire présentent un risque pour la santé.

Tous les métaux sont concernés


Si certains comme le béryllium sont très réactifs et d'autres comme l'or plus stables, tous interagissent dès lors qu'ils baignent dans la salive. Aucun métal n'échappe à ce phénomène, pas même le titane des implants, pourtant réputé inerte. Des études ont montré que des ions métalliques (nickel, titane, etc.) se retrouvent dans les tissus environnants et à distance dans le corps chez les personnes porteuses d'implants ou de prothèses réalisées dans ces métaux.

Les plus nocifs


Outre le mercure des plombages, connu pour sa toxicité, béryllium et nickel font sans doute partie des métaux les plus nocifs. Le béryllium, incorporé dans de nombreux alliages (il facilite l'adhésion de la céramique sur la chape métallique) et aussi dans certains plombages, est classé par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) comme cancérogène pour l'Homme. Même si l'emploi du béryllium est aujourd'hui limité dans les alliages destinés à la prothèse (à la demande des prothésistes qui souhaitaient préserver leur santé), il n'en reste pas moins qu'une quantité, même faible, suffit à provoquer une réaction d'intolérance chez une personne sensible. Le nickel, métal hautement allergisant, classé lui aussi par le CIRC comme cancérogène pour l'Homme est la base d'alliages bon marchés destinés à la réalisation de couronnes, de bridges, d'appareils amovibles, de coiffes pédodontiques destinées aux enfants, de fils et attaches d'orthodontie.

Des études alarmantes


Tout métal, même l'or ou le titane, réputés bien tolérés, peuvent provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles. Des études montrent l'implication des métaux dentaires dans de nombreux troubles ou maladies aux causes par ailleurs souvent inexpliquées par la médecine : maladies de peau (psoriasis, eczéma), maladies auto-immunes (sclérose en plaques, thyroïdite, maladie de Sjögren), désordres gastro-intestinaux, syndrome de fatigue chronique, arthrite rhumatoïde, sclérose latérale amyotrophique. Les métaux lourds en provenance des reconstitutions dentaires perturbent l'immunité en générant des phénomènes d'intolérance chronique chez les personnes sensibles. En outre, leur accumulation dans le tissu mammaire contribue à la genèse du processus cancéreux. Des taux élevés de métaux lourds (fer, nickel, chrome, zinc, cadmium, mercure, plomb) ont été retrouvés dans des biopsies prélevées sur des tumeurs cancéreuses du sein.

Limiter l'emploi du métal


Inconscient du danger, on a multiplié les alliages différents (il en existe plus de 1 000) alors que certains métaux ne devraient jamais coexister dans une même bouche. C'est ainsi que les phénomènes de corrosion sont majorés quand des métaux nobles comme l'or ou le platine coexistent avec des métaux vils (nickel, chrome, cobalt). La présence de plombages au mercure vient encore accentuer les phénomènes de galvanisme résultant de ces associations. Chaque fois que possible, il faut privilégier les solutions prothétiques n'incluant pas de métal. Les progrès technologiques permettent aujourd'hui de réaliser des implants, des couronnes et des bridges en zircone, une céramique très solide, mieux tolérée que le métal. Ces prothèses, plus esthétiques que celles avec métal, qui est souvent visible par transparence, doivent être privilégiées chaque fois que les conditions de réalisation le permettent. Le patient doit les demander au dentiste si celui-ci ne les propose pas. Quand l'emploi du métal s'avère indispensable pour des raisons techniques, il est impératif de conserver le même alliage pour l'ensemble des travaux. Le nom et la composition exacte de l'alliage doivent être soigneusement consignés dans le dossier dentaire afin de permettre un suivi, même si le patient est amené à changer de dentiste.

Éviter le plombage au mercure


Quant au plombage, on évitera d'y recourir. Si la dépose est souvent souhaitable, elle ne doit pas se faire sans précautions car elle libère des vapeurs de mercure en quantités importantes. Il faut en outre s'abstenir chez la femme enceinte ou qui projette de l'être et chez celle qui allaite. De plus, il est nécessaire de se donner les moyen d’une solution de remplacement de qualité. En cas de délabrement important, le composite ou "plombage blanc" est inadapté. Mieux vaut recourir à un inlay (obturation réalisée par le prothésiste à partir d'une empreinte), en privilégiant la céramique ou la résine cuite (moins onéreuse) pour éviter les phénomènes galvaniques liés au métal.

Choisir la biocompatibilité


Grâce à la prise de conscience des patients, l'emploi du plombage tend à régresser progressivement. Une prise de conscience similaire doit s'effectuer par rapport à tous les autres métaux employés aujourd'hui en art dentaire dont l'usage doit être abandonné ou limité. Nous sommes à l’aube d'une révolution car la technologie offre enfin une alternative satisfaisante au métal. Profitons-en en faisant le choix de l'esthétique et de la biocompatibilité pour le plus grand bénéfice de notre santé.

Estelle Vereeck
Auteur du Pratikadent, dictionnaire holistique des atteintes dentaires et de la biocompatibilité des soins
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MessageSujet: Re: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 17:01

INFO OU INTOX ?

Dentisterie holistique D--vit-OB-609-027-2-La dent dévitalisée bouc émissaire

Au nom d’une vision partiale de la dentisterie holistique, certains tentent d’imposer l’extraction systématique des dents dévitalisées. D’après ces arracheurs modernes, ce serait le remède miracle à tous les problèmes de santé. Faire de la dent dévitalisée le bouc émissaire de nos maux est aussi simpliste qu’infondé. L’altération de la santé résulte de l’accumulation de nombreux facteurs (pollution, mode de vie, stress, habitudes nocives, etc.). Reste à savoir quelle place tiennent les dents dévitalisées dans cette longue liste. En outre, les promoteurs de ces méthodes revendiquent des guérisons miraculeuses sans fournir de preuves suffisantes.



Dégâts collatéraux des extractions

Déçus d’avoir sacrifié la moitié (ou plus) de leur capital dentaire sans obtenir la moindre amélioration, les patients se voient répondre que leur état aurait été pire s’ils avaient gardé leur dents dévitalisées. Or rien n’est moins sûr. Car si la guérison n’est pas garantie, la dégradation de l’occlusion et de la posture est en revanche certaine. Toute extraction, fut-ce d’une seule dent, provoque un affaissement des mâchoires très dommageable pour l'articulation des mâchoires, le dos, la posture, même en cas de restauration par une prothèse. Des études ont montré que la perte des dents affecte la mémoire spatiale et que les personnes édentées vieillissent moins bien que les autres avec un risque accru de démence sénile. Chez l’enfant, l'extraction prématurée de dents de lait a des répercussions catastrophiques en terme de croissance des mâchoires, générant des malocclusions aux conséquences malheureusement trop souvent irrattrapables par la suite.


Raison garder


L'extraction des dents dévitalisées peut être utile dans certains cas bien particuliers mais ne doit en aucun être présentée comme un recours systématique et encore moins un remède miracle. Il faut mettre en balance le bénéfice escompté avec les effets indésirables causés par les extractions (voir ci-dessous). Ceci réduit l'indication des extractions de dents dévitalisées aux personnes atteintes de maladies graves ou handicapantes. En outre, la dentisterie énergétique utilise des tests (morathérapie, neuralthérapie) qui permettent d'établir la causalité d'une dent dévitalisée dans une pathologie et de poser l'indication de son extraction et ce dans le cadre d'une dentisterie intelligente et véritablement holistique.
Chez l'enfant, sauf infection irréductible ou délabrement extrême, il est impératif de conserver les dents de lait dévitalisées en les traitant avec des huiles essentielles. Les dégâts éventuels générés par les toxines issues des dents de lait dévitalisées seront toujours moindres que ceux causés par leur perte prématurée.


Choisir avec soin la pâte qui obture les racines

Prôner l'extraction systématique d'une dent dévitalisée, n'est-ce pas se tromper de cible ? Les matériaux qui obturent les dents (plombages, métaux tels que béryllium, nickel, chrome, etc.) sont la source d'une intoxication bien plus grande. Le bon sens commande de les éliminer avant d'extraire l'organe irremplaçable qu'est la dent. En outre, le plus toxique dans une dent dévitalisée, c'est souvent la pâte employée pour remplir les racines. Plutôt que de prôner l'extraction, il est plus judicieux d'avertir patients et dentistes des dangers de ces pâtes contenant des dérivés formolés, des corticoïdes, des antibactériens ou d'autres substances irritantes et nocives afin de privilégier l'emploi d'une pâte la plus neutre et la plus naturelle possible à base d'huiles essentielles*. On veillera en première intention à retraiter la racine de la dent suspecte avant d'envisager l'acte irréversible qu'est l'extraction.
* La question des pâtes d'obturation est traitée en détails dans le Pratikadent à la rubrique Toxicité des pâtes d'obturation canalaire.

Points à méditer avant de se laisser mutiler

L'extraction d'une dent est une mutilation irréversible et on ne dispose aujourd'hui d'aucun moyen totalement satisfaisant de remplacer l'organe dentaire perdu. Les implants ne restaurent pas la fonction kinesthésique du ligament (sensibilité à la pression) et présentent (pour ceux en titane) une toxicité au moins équivalente à celle d'une dent dévitalisée, même si cette toxicité est de nature différente (relargage d'ions métalliques et électrogalvanisme). Les appareils amovibles ou dentiers sont mal acceptés, souvent inconfortables et peu stables en cas d'édentation importante. Quant aux bridges, ils induisent le blocage des structures en s'opposant aux micro-mouvements naturels des pièces osseuses entre elles, particulièrement au niveau de la suture palatine avec des conséquences parfois désastreuses sur la santé (insomnie, maux de tête, vertiges, syndrome dépressif).

N'oublions pas en outre qu'une extraction peut laisser une cicatrice, elle-même source de perturbations à distance, comme expliqué dans:
barrages énergétiques d'origine dentaire.
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MessageSujet: Re: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 17:04

Parmis toutes les études cliniques parues ces dernières années, qui toutes s’efforcent de montrer l’innocuité du mercure sur la santé humaine, quelques audacieux s’inscrivent à contre-courant, confirmant ainsi les thèses de la dentisterie énergétique qui depuis des années dénonce la toxicité du plombage.


Le mercure, facteur d'addiction au tabac

Une étude, passée complètement inaperçue, et parue en 1993 dans Toxicology Letter, proclame l’évidence que le mercure des plombages dentaires est une cause probable de la dépendance tabagique. D’après les auteurs, le mercure affecterait les neurotransmetteurs du cerveau, causant une chute de dopamine, serotonine, norepinephrine, acetylcholine, tandis que la nicotine aurait l’effet exactement inverse. Cela expliquerait que les porteurs de plombages fument davantage que les autres pour compenser en quelquesorte le déficit en neurotransmetteurs induit par l’intoxication au mercure. Ce déficit expliquerait en outre les états d’anxiété observé chez les porteurs de plombages, anxiété qui par un effet pervers incite à fumer davantage. C'est un cercle vicieux dont la dépose des plombages permettrait peut-être de sortir. D'autant plus que les fumeurs, de par la chaleur de la cigarette qui augmente la libération de vapeurs de mercure, s'intoxiquent davantage que les non fumeurs.


Une étude à confirmer

Cette étude n’a malheureusement rencontré aucun écho et n’a reçu à ce jour aucune confirmation ni infirmation. Il ne semble pourtant pas bien compliqué de mener d’autres évaluations sur le sujet. À l’heure où le tabac, reconnu comme première cause des cancers, devient un problème de santé publique et où tant de gens se demandent comment arrêter, les fumeurs seraient certainement intéressés d’apprendre que les plombages qu’ils ont en bouche contribuent à la dépendance dont ils sont victimes. Si l’implication du mercure dans le tabagisme est confirmée, la dépose des plombages, pratiquée couramment en dentisterie holistique, pourrait se révéler une aide précieuse dans le sevrage tabagique.


Référence

Siblerud RL, Kienholz E, Motl J. Evidence that mercury from silver dental fillings may be an etiological factor in smoking. Toxicol Lett 1993 Sep; 69(3):305.
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MessageSujet: Re: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 17:07

Maladie d'Alzheimer, plombages et autres métaux dentaires



Dernière modification le 11-1-2008

Avec 225000 personnes touchées dont 10000 nouveaux cas chaque année, la maladie d'Alzheimer progresse de manière inquiétante, une incidence qui justifie le plan Alzheimer mis en place par la France.


Dentisterie holistique 609-055-1-AlzheimerLa maladie survient vers l'âge de 55 ans en moyenne et se traduit par une dégénérescence cérébrale qui évolue irréversiblement vers une altération des capacités cognitives et de la conscience conduisant à terme à une perte totale d'autonomie. La cause de cette maladie, redoutable parce qu'incurable, reste à ce jour inconnue. Parmi les nombreux facteurs de risques suspectés (prédisposition génétique, dépression, pathologies cardiaques, anémie, traumatismes crâniens, apnée du sommeil, etc.), figurent les facteurs environnementaux tels que l'exposition aux métaux et à divers agents physiques et chimiques.

Les nombreux métaux employés en dentisterie, plombages au mercure ou amalgames dentaires en tête, qui constituent une source d'exposition permanente et pour nombre de personnes quasiment à vie, ne sont pas pris en compte par les instances officielles. Ils représentent pourtant un facteur de risque de la maladie d'Alzheimer à ne pas négliger.



Plombages au mercure


Les métaux employés en dentisterie, mercure des plombages ou amalgames dentaires en tête, qui constituent pourtant une source d'exposition permanente et, pour beaucoup de personnes quasiment à vie, ne font pas partie des pistes explorées jusqu'ici. "
L'intérêt récent pour le mercure, dont les sources sont la consommation de poisson, les amalgames dentaires et les vaccins, ne peuvent être correctement documentés avec les données actuelles" conclue sobrement un rapport du CNRS qui s'appuie sur deux études de 2003 et 2004.
C'est sans doute défausser un peu vite le mercure mis en cause dans une étude de 2001*, menée à l'université de Calgary, qui démontre sa
neurotoxicité même à faible concentrations (voir absolument la vidéo!). Une étude de septembre 2007* confirme que le mercure, en tant que neurotoxine, est un facteur accélérateur de la maladie d'Alzheimer.
Or la principale source d'exposition au mercure dans les pays développés est représentée par les amalgames dentaires ou plombages, pour moitié composés de mercure. Le mercure s'en échappe par vaporisation sous l'effet de la mastication et par l'ionisation due à la corrosion de l'amalgame au contact de la salive. Les vapeurs de mercure inhalées remontent directement au cerveau par le nerf olfactif. Une perte d'odorat, provoquée chez les porteurs de plombages par l'accumulation de mercure dans le bulbe olfactif, est également observée chez les personnes atteintes d'Alzheimer (la perte d'olfaction est considérée comme un signe prédictif de la maladie).
Il est à noter que l'étain et le zinc, deux autres composants de l'amalgame dentaire, sont également reconnus comme des neurotoxines. Diffusant par ionisation, ils viendraient renforcer l'effet destructeur du mercure sur la cellule nerveuse.
Des scientifiques ont noté que l'incidence de la maladie d'Alzheimer est plus élevée dans les pays qui utilisent l'amalgame au mercure depuis longtemps, tandis qu'au Japon, pays où on l'emploie peu, le taux de la maladie est resté beaucoup plus bas. Des études montrent qu'à l'inverse, les japonais émigrés aux États-Unis et au Brésil développent la maladie avec une fréquence plus élevée.



Autres métaux employés en dentisterie

Les autres alliages présents en bouche (couronnes, bridges, implants et autres prothèses) contribuent au phénomène de neuro-dégénérescence à travers les courants galvaniques générés par leur coexistence.
Pour autant, toutes les personnes exposées aux métaux ne souffriront pas de la maladie. Seules celles prédisposées génétiquement à peu excréter le mercure et les métaux toxiques ont un risque élevé de développer la maladie.


Prévention efficace


Trouver et éradiquer les véritables causes de la maladie est le minimum qu'on puisse attendre d'un plan Alzheimer. Cependant, si la piste du mercure et des métaux dentaires n'a pas été explorée jusqu'ici, il semble que ce soit essentiellement pour des raisons économiques. Obturation bon marché et facile à poser, l'amalgame dentaire, seul matériau remboursé intégralement à ce jour, permet à la Sécurité Sociale de faire de substantielles économies. Reconnaître l'implication du plombage au mercure dans la maladie d'Alzheimer ne manquerait pas de déclencher une vague de panique et inciterait un grand nombre de porteurs d'amalgames à faire déposer leurs obturations métalliques. La Sécurité Sociale n'est pas prête à financer une telle opération. Quant au titane, qui oserait remettre en question sa neutralité aujourd'hui établie comme un fait incontestable grâce à une action de communication bien ciblée, alors que l'implantologie en plein essor représente des enjeux financiers colossaux ? Mais est-il raisonnable de continuer à engloutir des sommes pas moins colossales, et néanmoins insuffisantes, dans un plan Alzheimer destiné à prendre en charge les personnes dépendantes dont le nombre ne cesse de croître parce qu'en amont on a pas supprimé les causes véritables de la maladie ?

Bannir le mercure, comme la Norvège l'a fait depuis le premier janvier 2008, limiter au maximum le recours au métal en dentisterie, en développant les solutions alternatives qui existent, et gérer l'acidité buccale sont des mesures préventives à mettre en place de toute urgence.

http://www.holodent.com/article-17081549.html
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MessageSujet: Re: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 17:09

Les malades intoxiqués par les plombages au mercure sont-ils des malades imaginaires ?

Un article paru le 28 février 2008 dans un journal connu du monde dentaire*, intitulé : "Merci au ministre norvégien de l'Environnement" répond sans ambages à cette question.

Réaction tardive à la décision de la Norvège d'interdire le plombage au mercure à dater du
premier janvier 2008, voilà de bien étranges remerciements en forme de compliments "totalement assassins"* puisque l'auteur suggère d'élever une statue à l'effigie de madame Anne Beate Tangen (directrice du ministère norvégien de l'Environnement), ainsi qu'à "la bêtise triomphante". Nos amis norvégiens apprécieront.

Mais l'auteur ne se contente pas de fustiger les autorités norvégiennes. Après une introduction musclée dans laquelle il affirme que les dentistes ne contribuent que pour 0,04% à 0,2% à la pollution due au mercure en général*, il s'en prend aux malades du mercure dentaire à propos desquels il écrit: " Les groupes de patients 'somatiques' incriminant le mercure dentaire figurent maintenant en bonne place dans les revues psychiatriques". Des fous relevant de la psychiatrie, telles sont les victimes du mercure dentaire pour l'auteur qui n'hésite pas à surenchérir en concluant : "ils sont fous, ces vikings". Comme quoi ne peuvent être que "fous" les opposants à l'amalgame dentaire. On appréciera la qualité de l'argument.


Folie mercurielle

Fous, n'est-ce pas une évidence ? Quel meilleur moyen de nier les symptômes des victimes du plombage quand on affirme haut et fort que "l'innocuité de l'amalgame d'argent est reconnue par l'ensemble du monde biomédical" ? Les nombreux patients dont on a pu entendre le témoignage dans l'émission Les mercuriens** seront ravis d'apprendre que leur cas relève de la psychiatrie. C'est d'ailleurs systématiquement chez le psy qu'on envoie celles et ceux qui se plaignent de troubles tels qu'angoisses, irritabilité, dépression, perte de mémoire, hypersensibilité, bruxisme, acouphènes, maux de têtes, fatigue, allergies aux aliments, aux odeurs, etc. C'est évidemment oublier que le mercure est un neurotoxique comme cette vidéo réalisée à l'université de Calgary le démontre clairement.
L'affinité du mercure pour la cellule nerveuse
explique les nombreux troubles neurologiques décrits par les porteurs de plombages. À ce propos, rappelons que les premiers dentistes commencèrent par rejeter en bloc l'amalgame d'argent après avoir observé les troubles nerveux, moteurs et de démence, qu'entraînait leur pose. En 1852, le dentiste français Talma décrit les "mouvements nerveux qui se prolongèrent toute la journée et ne cessèrent que quand les dents furent déplombées". Il ne fut pas le seul. Dès 1848, l'American society of dental surgeon, association de dentistes qui fédère alors la profession Outre-Atlantique, suspend onze de ses membres pour avoir utilisé l'amalgame d'argent.
Paradoxe du progrès, alors que la composition du matériau a certes changé mais contient encore 50% de mercure, les instances professionnelles, dentaires aussi bien que médicales, françaises aussi bien qu'européenne*, défendent aujourd'hui becs et ongles l'innocuité de l'amalgame dentaire. La neurotoxicité du mercure est pourtant connue de longue date. Ainsi les chapeliers, exposés aux vapeurs de mercure utilisées dans la fabrication des feutres, étaient-ils connus pour développer des troubles neurologiques. D'où le chapelier fou d'Alice au pays des merveilles et l'expression tourner du chapeau.


* Un rapport rédigé par un comité scientifique européen et publié mi janvier 2008 affirme l'innocuité totale de l'amalgame au mercure.


Droit chez le psychiatre

Pourtant les
témoignages des malades du mercure, sont systématiquement rejetés par la médecine officielle qui se contente de les adresser chez le psychiatre, chargé de les traiter par anti-dépresseurs. Les accusations de la toxicité du plombage au mercure reposerait sur des dosages fantaisistes "dans le cadre restreint d'associations militant contre le mercure et l'usage de métaux lourds pour des raisons qui ne concernent qu'eux-mêmes". Ainsi sont balayés d'un revers de main les témoignages et les souffrances des intoxiqués du mercure dentaire en même temps qu'est habilement sous-entendu que leurs troubles psychiques sont la cause réelle de leurs maux. Tout est dit. Malades somatiques, prenez vos anti-dépresseurs et taisez-vous. "À ce jour, aucun dossier de malade n'a permis d'établir de relation entre le mercure et le déclenchement de pathologie" affirme l'auteur de l'article.
Et pour cause ! Une patiente intoxiquée au mercure qui témoigne dans l'émission les mercuriens*, explique que les médecins ont tout simplement refusé d'examiner son dossier médical, la remettant d'office aux bons soins du psychiatre de service. On voudrait croire à une plaisanterie. Hélas la "thèse psychiatrique" concernant les patients intoxiqués à l'amalgame au mercure est des plus officielles. Dans son rapport d'octobre 2005, l'Afssaps conclut
(page 90) : "selon les données scientifiques publiées depuis 1998, les symptômes décrits par certaines personnes comme étant la conséquence de la présence d'amalgame dans leur bouche ne sont pas attribuables au mercure mais reflètent des maladies somatiques non diagnostiquées ou des troubles psychiques, voire psychiatriques".

* Écouter l'émission sur le site Les mercuriens

Déni et hypocrisie

L'art du déni porté à ce sommet d'hypocrisie jette le discrédit sur le monde médical, par ailleurs impliqué dans les scandales que l'on sait (vache folle, sang contaminé, amiante, etc.). Cette négation du risque est d'autant plus paradoxale que les dentistes sont eux-mêmes les premiers exposés aux vapeurs de mercure libérées lors de la pose et de la dépose des plombages. Dans l'émission les mercuriens, une dentiste témoigne, après quinze ans d'exercice, de troubles sensitifs à type de fourmillements et de douleurs multiples et se dit profondément déçue de l'ignorance dans laquelle l'ont tenue ses formateurs, une ignorance que des articles comme celui de ce journal bien connu de la profession continue d'entretenir. On peut lire également à ce sujet le
témoignage du Dr JM Bousquet atteint d'une maladie neuro-dégénérative grave et qui a dû cesser son activité après 25 ans de pratique.
Nier en bloc est une stratégie de défense dont la France est hélas coutumière. On se souvient du nuage de Tchernobyl qui n'a jamais franchi la frontière, du scandale du sang contaminé, de l'hormone de croissance, de l'amiante etc. Pourtant le déni trouve tôt ou tard ses limites et fonctionne aussi longtemps que les plaignants sont minoritaires. Combien de temps le déni pourra-t-il fonctionner face à la recrudescence de maladies dégénératives incurables (cancer, Alzheimer, sclérose en plaque, etc.) ? Trop longtemps hélas pour les patients malades du plombage au mercure mais sans doute pas aussi longtemps que les représentants de la médecine officielle l'espèrent. Le déni prendra fin un jour prochain mais il est à craindre qu'alors la facture soit de plomb. En attendant, l'industrie des psychotropes et autres anti-dépresseurs a encore quelques beaux jours devant elle.

La fin du plombage n'est peut-être plus si lointaine car pour la première fois, les États-Unis reconnaissent la
toxicité de l'amalgame dentaire.

http://www.holodent.com/article-18242103.html


Dernière édition par geranium le Sam 14 Mar - 17:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Dentisterie holistique   Dentisterie holistique Icon_minitimeSam 14 Mar - 17:10

Exposés aux vapeurs de mercure libérées lors de la condensation et du fraisage de l'amalgame ou plombage), les dentistes sont eux aussi intoxiqués. Le problème est réel mais occulté par les autorités sanitaires françaises qui nient tout risque, tant pour le dentiste qui manipule l'amalgame que pour le patient qui le porte en bouche. Le docteur JM Bousquet, qui a aujourd'hui cessé de pratiquer en raison de problèmes de santé graves, témoigne de son parcours.


Les récents propos insultants tenus par M. Goldberg dans le CDF paru fin février 2008* m’obligent à réagir et à témoigner. Alors que des pays scandinaves ont restreint depuis longtemps l’utilisation de l’amalgame dentaire et que la Norvège vient de l'interdire, et pas seulement pour des raisons environnementales, la France, s’appuyant sur les conclusions faussement rassurantes du très controversé rapport de l’Assaps de 2005 continue à justifier et autoriser le recours à ce matériau constitué pour 50% d’un produit maintenant classé CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique). En revanche à la même époque, sur la même question de la toxicité potentielle du mercure, la Suède dans un rapport beaucoup mieux étayé et plus objectif arrivait à des conclusions totalement opposées.

*
Article intitulé Merci au ministre norvégien de l'Environnement dont on peut lire une critique sur le site des éditions Luigi Castelli.

Déclenchement d'une maladie neuro-dégénérative

J’ai exercé en tant que chirurgien dentiste à Cahors pendant 25 ans mais, en 2002, j’ai dû cesser mon activité pour invalidité professionnelle suite à une maladie neurodégénérative sensitivomotrice d’évolution péjorative apparue soudainement en 1989, à l’âge de 37 ans. Pendant mes études, j’avais appris que le mercure était un poison mais on nous avait enseigné qu’une fois lié aux autres métaux de l’amalgame, il ne présentait plus aucun danger. Dès le début de la maladie j’ai songé à un intoxication mercurielle, mais l'hypothèse a été infirmée par de simples analyses d’urine qui ont montrées en 1990, puis en 1999 des taux de mercure inférieurs à la norme de 10 microgramme par litre.


Bons et mauvais dosages

Ainsi jusqu’en 1998, je me contentais du diagnostic de "probable maladie de Charcot-Marie-Tooth atypique et sporadique". Mais début 1999, grâce à l’association Non Au Mercure Dentaire, j’ai appris que l’analyse d’urine spontanée n’est pas un bon indicateur de l’intoxication mercurielle chronique. Ce sera plus tard confirmé par un toxicologue universitaire qui écrit à mon sujet en 2003 : « les concentrations mercurielles sanguines et urinaires ne sont pas représentatives d’une pollution mercurielle chronique ancienne puisque la mercuriémie reflète une contamination instantanée et que la mercuriurie est un bon indicateur d’une exposition de l’ordre du trimestre ». Ce toxicologue suggérait «d’évaluer la quantité de Hg accumulé dans l’organisme à l’aide d’un traitement chélateur DMPS, traitement favorisant par ailleurs la désintoxication du tissu nerveux dans lequel la demi-vie biologique du mercure serait de l’ordre de 18 ans». En mars 2000, le dosage du mercure dans les selles et les urines, deux heures après la prise de trois comprimés du chélateur DMPS, avait effectivement montré des chiffres très élevés, apportant la preuve d'un stockage important des métaux des amalgames dentaires mis en évidence par le chélateur. Malheureusement, de violentes migraines, provoquées par la mobilisation du mercure, m'ont empêché de poursuivre le traitement de chélation par DMPS.


Déni médical

Malgré ces résultats, les neurologues qui me suivent n’ont jamais su, voulu ou pu aller dans la direction d’une pathologie induite par le mercure et se sont toujours référés aux simples analyses préconisées par l’Afssaps. En 2000, j’ai même participé à l’étude de F. Toumelin-Chemla s’appuyant sur ces simples taux de mercure urinaires. Quand on sait que ces recherches ont été faites en collaboration avec Dentoria (un important fabricant d'amalgame!), on peut émettre des doutes sur leurs conclusions. Pour prouver la non toxicité du mercure, il suffit de ne pas choisir le bon indicateur! Il en sera de même en 2006 quand j’ai suivi le protocole de l’Afssaps destiné à s’occuper des malades pensant être intoxiqués par ce poison. C’est la présidente du Collège français des biomatériaux dentaires qui s’est chargée de moi! Quant au biologiste qui a fait mes analyses, il a reconnu
par téléphone ne pas être spécialiste de l’intoxication mercurielle, il faisait pourtant parti du groupe d’experts de l’Afssaps! Une chance, on ne m’a pas envoyé chez le psychiatre!


Problème de santé publique

Des analyses faites en Allemagne dans un laboratoire agréé montrent que je suis victime d’une intoxication mercurielle chronique, non reconnue en France. A mon avis, elle est due aux nombreux amalgames que j’ai eu très longtemps en bouche mais surtout au mercure que j’ai inhalé en le manipulant sans précaution des années durant et auquel je dois avoir une hypersensibilité, sans doute génétique, hypersensibilité qui m'a amené à développer des symptômes avec plus d'acuité qu'un autre. On connaît depuis longtemps la toxicité du mercure, son relargage à partir des plombages est connu, ce métal est interdit dans de nombreux domaines et pourtant, en France, on continue de nous abuser… Pourquoi ne pas appliquer le principe de précaution et exiger l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) pour l’amalgame et les autres matériaux dentaires, comme c'est le cas pour les médicaments? Faut-il que, pour des raisons économiques à court terme, on continue à empoisonner la population et qu’éclate un nouveau scandale?

Jean-Marie Bousquet, docteur en chirurgie-dentaire
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