Les prophéties de Simon le Centenier, le nouveau Nostradamus

Les prophéties de Simon le Centenier, le nouveau Nostradamus

'' Europe il est mille ans trop tard pour toi, dans le Creuset du Maître point d'alliage, dans le ciel de tes vierges points de voix, des barbares viendront les nouveaux âges.'' tel est le 101 ème quatrain du moine bénédictin, Simon le Centenier, remis à son ami Albio Falberi, en 1959.

Légataire des révélations de Simon le Centenier, Albio Falberi a présenté en ces termes sa requête auprès de l'éditeur Jean-Paul Bertrand : « Si à la lecture de ces 179 quatrains, vous estimez qu'ils n'ont pas à être publiés, alors je n'irai pas plus loin. C'est à vous et à personne d'autre que je les confie ! »
C'est ainsi que les prophéties du Centenier ont été publiées, aux éditions Alphée.

Une communauté monastique est un lieu de prières, de lecture de la parole de Dieu mais aussi un lieu où se créent les liens entre les hommes. Rencontrant Simon pour la première fois en 1947 dans une abbaye pour y faire une retraite, Albio Falberi décrit ainsi sa rencontre : « Simon avait alors 58 ans.

Comme le Christ des Evangiles avec le jeune homme riche, il m'a aimé tout de suite. Il n'était pas le Christ et je n'étais pas riche ... il a joué officiellement pour moi le rôle de maître spirituel. »

Une transmission post mortem

« Les quatrains présentés sont des textes révélés. Mon ami, disparu en 1959, souhaitait rester dans l'ombre, et ne voulait pas qu'ils fussent connus avant au moins un demi-siècle. Aujourd'hui en cette fin d'année 2008, je me sens enfin autorisé à les faire apparaître en pleine lumière» - Albio Falberi.

Les prédictions de Nostradamus sur la marche du monde ont été dévoilées après sa mort. Il en est de même pour les prophéties de Simon le Centenier. Des apparitions qui jaillissaient nuit après nuit, phrase après phrase à l'issue d'un choc reçu, en 1916, alors qu'il était allongé dans les tranchées.

Comme le précise l'éditeur : « Nostradamus aurait peut-être pu écrire ces prophéties. C'est une question à laquelle les historiens et les philologues pourront peut-être répondre ». Quoi qu'il en soit les prophéties du moine bénédictin pourraient donner le sentiment d'un avènement spirituel tant l'écriture d'Albio Falberi est d'une grande humilité.

179 prophéties

Une habileté toute particulière et pleine de délicatesse est mise en mouvement pour raconter l'histoire. L'ouvrage tisse des liens entre le lecteur et cet esprit de communion qui unit deux hommes dans l'échange et la confession.

Les vers des quatrains révélés rejoignent l'actualité de notre XXIème siècle, prophétie après prophétie : l'océan nourricier menacé est-il le début d'un désastre écologique plus grave ?

L'Amérique du Sud deviendra t-elle le centre du monde ?

La fin des Etats-Unis signifie t-elle la fin de l'humanité ?

Le vieux continent est-il en train d'agonir ?

Nicolas Sarkozy occuperait- il la septième place dans la liste des douze derniers présidents ?

De graves menaces entre 2040 et 2070 pèsent-elles véritablement sur le monde ?

La liste des prophéties est teintée d'un grand pessimisme brusquement.
Est-ce là notre devenir ?

Les prophéties de Simon le Centenier, le nouveau Nostradamus Propheties

Les prophéties de Simon le Centenier, le nouveau Nostradamus Propheties

Simon Le Centenier est le pseudonyme d’un moine bénédictin, né en Bretagne en 1889. Ordonné prêtre, il participe à la Grande Guerre en tant qu’aumônier et reçoit, à l’occasion d’une grave blessure à la tête, ses premières prémonitions.

Albio Falberi, légataire des révélations de Simon le Centenier, a fait le vœu de rester dans l’'ombre. Il a vécu pendant une quinzaine d’années proche de son ami et maître spirituel. Âgé aujourd’hui de 84 ans, il s’est essayé à une première interprétation des quatrains, espérant
qu’il se trouvera parmi les lecteurs des exégètes plus avisés que lui.
Tout le destin de notre planète semble contenu dans ces 179 quatrains.
Ils nous laissent entrevoir la fin d’une ère historique, le peu de temps qui reste peut-être à de grandes nations comme les États-Unis, une nouvelle genèse en Amérique du Sud, et la
nécessité d'une renaissance spirituelle de l'humanité.

Des prophéties écrites pour toujours
Comme au cours de l'Eucharistie, où le moine Simon a du prononcer des vœux de stabilité, de conversion de vie et d'obéissance qui expriment le don qu'il fait de sa personne au Christ Jésus à tout jamais, ces prophéties sont écrites pour toujours.
Et de la même façon qu' il a du signer la charte de sa profession et la déposer sur l'autel, son ami, Albio Falberi a déposé les prophéties de son maître spirituel entre les mains d'un éditeur qui a su les recevoir.

La découverte de ces 179 quatrains semble d'ailleurs être indissociable de l'accueil de l'autre et de l'amour de Dieu. Du moins cette sincérité transpire t-elle dans toutes les pages invitant le lecteur à entrer en contact avec les prophéties, dont on aimerait qu'elles visent à conduire l'humanité vers une plus grande charité.

De la lecture à l'étude

La lecture, une fois achevée, peut-elle donner l'envie d'étudier ?
C'est un souhait, une intention de l'éditeur. Certaines personnes consacreront peut-être chaque jour un peu de leur temps à déchiffrer ces quatrains : « J'avais demandé à Albio Falberi de me donner des pistes et il l'a fait ; même si je ne suis pas toujours d'accord avec ses pistes. » Alors l'éditeur a imaginé une solution : organiser un concours afin de proposer d'autres interprétations.

La première édition sera peut-être être suivie d'une seconde, affichant pour le coup de nouvelles interprétations. Quoiqu'il en soit, comme dans l'écriture des prophéties de Nostradamus, le style poétique et le vocabulaire donnent aux exégètes une grande liberté d'interprétation.

Une question pourrait être posée par les personnes à l'esprit cartésien : ce style d'écriture difficilement compréhensible était-il motivé par autre chose que l'intention d'assurer la pérennité d'une œuvre ? Simon le Centenier n'est plus là pour répondre et Albio Falberi est également absent.
Mais comme le précise une dernière fois l'éditeur : « J'ai publié plus de 4 000 titres, élimé beaucoup de manuscrits fantaisistes et je me suis toujours méfié de ceux qui disent détenir LA vérité.

Cette oeuvre est un chemin qui mène à une plus grande conscience et fait appel, pour l'occasion, aux vrais défricheurs de textes. »

Ainsi commence ou s'achève la présentation du livre, les prophéties du Centenier, aux éditions Alphée.
Aucun contact n'a jamais été créé entre Albio Falberi et son éditeur autrement que par courrier et une tierce personne. Mais cela est-il si important ?
Peut-être est-il plus intéressant de savoir que, Simon, était aussi le prénom d'un des douze apôtres de Jésus-Christ, à qui l'on demande aujourd'hui d' intercéder auprès du Dieu de miséricorde pour qu'il accorde à nos âmes le pardon de nos péchés ?

http://www.besoindesavoir.com

» Nostradamus