Concevoir le paradis, ne serais ce que l'imaginé ici bas, c'est aussi se permettre de l'atteindre, de s'en donner les moyens.
Mène t'on forcement une vie égoïste, et mauvaise si l'on est foncièrement attaché à des valeurs matérialistes ?
Est ce juste de savoir que si quelqu'un ne l'a jamais envisagé il n'en a pas l'accès ?
Je pense que cela fait parti d'un ensemble, je pense que quelqu'un de bon et de simple qui ne c'est jamais confronté concrètement à ce concept peut atteindre cette notion de paradis, mais finalement il aura mener sa vie de manière à l'atteindre.
Mais s'il dit "cela n'existe pas", c'est tout de même des valeurs plus profonde que cela engage. Quand on a mener toute sa vie en se disant que le paradis n'existe pas, on n'a finalement pas de compte à rendre, et surtout pas à soi, on en arrive donc à la loi thélèmite "fais ce que tu veux".
Cette loi est mère de chaos et n'est en rien épanouissante à long terme puisque chaque chose à un prix.
Cela ne constitue pas une inégalité, je trouve normal que les gens qui ont mené leur vie dans le sens du toujours mieux et dans le respect de chacun puisse être récompensé de cela.
Quant à ceux qui pensent "on se fiche de cette morale de *** EDIT***" (j'en connais), ou "le paradis n'existe pas" C'est aussi normal qu'il ne reste que sur leurs acquis.
Je pense que cela fait donc parti d'un ensemble, et que cela traduit finalement la spiritualité de chacun.