L'exode du Paranormal
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

L'exode du Paranormal

Venez ici, découvrir le paranormal dans un état d'esprit zen et festif !!!
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesConnexionS'enregistrer
Le Deal du moment :
Display japonaise One Piece Card Game OP-09 The Four ...
Voir le deal

 

 Le droit de mourir...

Aller en bas 
AuteurMessage
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeLun 25 Mai - 22:53

Le droit de mourir... /samedi 7 février 2009 par corinne

Quand on est atteint d’une maladie incurable et que la douleur devient insupportable, peut-on prétendre au droit de mourir ?
Question sensible sur laquelle les avis restent encore partagés. De mon côté, partant du principe qu’on a tous droit à la vie (article 3 de la Déclaration des droits de l’homme), je me suis demandé pourquoi n’aurait-on pas tous également le droit de mourir quand celle-ci devient insupportable ?
Je ne proposerai aucune réponse certaine, chacun ayant le droit (encore un autre !) de se faire sa propre opinion, mais j’évoquerai simplement quelques pistes de réflexion autour d’un sujet difficile mais important.

Pour mesures-phares, un rapport remis au Premier ministre recommande l’instauration d’un congé d’accompagnement de quinze jours rémunéré et la création d’un Observatoire des pratiques médicales de la fin de la vie. Notre Premier ministre,François Fillon, qui dit partager l’essentiel du diagnostic de la mission, s’est prononcé pour la prise en charge financière partielle du congé de solidarité familiale déjà existant et la mise en place d’un observatoire, dont la fonction pourrait échoir à l’actuel comité de suivi du plan de développement des soins palliatifs. Mais la mission parlementaire sur la fin de vie présidée par Jean Leonetti maintient le statu quo en la matière et ne propose que des aménagements à la loi du 22 avril 2005.

On notera toutefois cette belle remarque de Jean Leonetti : « Quand un homme a un enfant, on lui donne quinze jours de congé, mais quand un homme accompagne son enfant qui meurt, on ne lui donne pas un jour de congé avant la mort ». Une nouvelle mesure qui recentre le débat autour de l’accompagnement des personnes en fin de vie et notamment du sujet délicat de l’euthanasie. Car qui n’a fait face à l’agonie d’un proche règne, qui n’a connu la douleur extrême de voir celui ou celle qu’on aime souffrir nuit et jour pendant des semaines, voire des mois, ne peut ressentir pleinement les enjeux d’un tel sujet. Mais cette mesure du congé d’accompagnement rémunéré ne serait-elle pas quelque peu malsaine ?

Quinze jours pour mourir, c’est le temps dont dispose le malade. Irréel, absurde, les mots me manquent. Qui peut prévoir le temps qu’il reste à une personne atteinte d’une maladie incurable ? Les médecins eux-mêmes restent souvent imprécis, quelques semaines, quelques mois... Alors qui est-on pour prétendre donner quinze jours pour accompagner une personne vers la fin ?
Y a-t-il une course vers la mort, une course contre la vie, autrement dit « dépêche-toi maman, tu as 15 jours pour mourir »... Triste constat.
Le problème est plus profond. Il ne s’agit pas de disposer d’un temps payé pour mieux voir la personne qu’on aime mourir ! Mais d’une solution pour ne plus la voir souffrir, et, pour l’instant, aucune mesure concrète et surtout légale n’offre cette possibilité.

Mais des voix s’élèvent, y compris au sein du gouvernement, pour que l’Etat aille plus loin et autorise l’aide active à mourir dans des situations exceptionnelles. Le débat sur l’euthanasie, récurrent en France, a été relancé en mars dernier par l’affaire Chantal Sébire, une femme atteinte d’une tumeur incurable au visage qui demandait qu’on l’aide à mourir. Elle est décédée le 19 mars après avoir ingéré des somnifères. La mission a été lancée à la suite du drame.
Plus récemment, Lydie Debaine qui avait reconnu avoir tué en 2005 sa fille unique de 27 ans, handicapée motrice cérébrale et qui avait été acquittée par la cour d’assises du Val d’Oise en avril 2008, a été rejugée le 15 décembre 2008 par la cour d’appel de Versailles. Âgée de 62 ans au moment des faits, Lydie Debaine avait été acquittée alors que l’avocat général avait requis une « peine de principe » de trois ans de prison avec sursis. Le procureur général de Versailles avait fait appel du verdict.

Les acquittements dans ce type d’affaire sont très rares. En 1994, la cour d’assises du Finistère avait acquitté un père qui avait poignardé son fils handicapé mental. « Ce verdict d’acquittement pourrait en effet être compris comme un encouragement à l’atteinte volontaire à la vie des handicapés », avait déclaré Jean-Amédée Lathoud, procureur général de Versailles dans un communiqué pour expliquer les motivations de son appel dans l’affaire Debaine. « Il m’apparaît que l’acte de Mme Debaine, s’il justifie une réelle compassion, ne peut être accepté en l’état du droit français, de nos valeurs éthiques et des principes qui fondent la vie en société », précisait le procureur général. « L’épreuve continue dans la douleur pour ma cliente », avait réagi l’avocate de Mme Debaine, Caty Richard. « L’acquittement ne devait pas être interprété comme un permis de tuer mais comme une reconnaissance d’un acte juste », avait-elle ajouté. Lydie Debaine est accusée d’avoir donné plusieurs cachets d’anxiolytiques à sa fille avant de la plonger dans une baignoire pour la noyer, le 14 mai 2005 à Groslay (Val d’Oise).
Née prématurée avec une grave infirmité cérébrale, Anne-Marie était invalide à 90%. Elle avait été placée de 6 à 22 ans dans des centres spécialisés avant de revenir chez elle en 2001, faute de place dans une structure adaptée. À 27 ans, Anne-Marie avait l’âge mental d’un enfant de 5 ans. Elle souffrait depuis plusieurs années de crises d’épilepsie, de violents maux de tête et de vomissements. « C’est douloureux, sa fille lui manque terriblement, mais elle ne regrette pas d’avoir abrégé ses souffrances », a expliqué Me Richard qui plaidait de nouveau l’acquittement.

Le problème suivant se pose alors : un parent désireux d’abréger les souffrances de son enfant devient-il un meurtrier, au simple titre qu’il a ôté la vie à ce dernier ?
Mais qu’en est-il lorsque la vie de cet enfant était déjà presque une mort prématurée ?
Le sujet est grave et délicat, une réflexion profonde s’impose... Dans tous les cas, il n’est pas du ressort d’un parent de mettre fin à la vie de son enfant, la douleur d’accepter les souffrances de ce dernier est déjà bien assez lourde pour ne pas avoir à y rajouter ce drame. C’est aux médecins que revient la tache d’aider le patient souffrant à s’en aller dignement et paisiblement ; mais parce que la loi française n’autorise pas (encore) légalement le corps médical à abréger les souffrances de ces enfants, certains parents se retrouvent face à l’insupportable, à l’inévitable : donner la mort après avoir donné la vie...

Le député UMP Jean Leonetti juge « dangereux » et « inutile » d’accéder, à titre exceptionnel, à la demande d’un malade incurable réclamant la mort en conscience. Il exclut « un comité, choisi on ne sait comment, qui viendrait voir si oui ou non on peut donner la mort à un malade ». « Dans une démocratie, un tel comité aurait un droit plus important que celui du juge, que celui du législateur, que celui du président de la République » a-t-il déclaré après avoir remis son rapport au chef du gouvernement. Soit, cet argument se défend.
Mais n’est-on pas maître de son destin ?
Notre jugement en ce qui concerne notre bien-être n’est-il pas plus important que tous ces hommes de lois ?
Pour alternative, le rapport Leonetti estime qu’un Observatoire des pratiques médicales de la fin de vie permettrait de mieux faire connaître la loi de 2005 et donc de mieux l’appliquer, notamment lorsqu’il s’agit de proscrire « l’obstination déraisonnable ». La mission préconise en outre la nomination d’un médecin référent en soins palliatifs dans chaque département, qui pourrait avoir un rôle de médiateur dans les cas les plus délicats, comme celui de Chantal Sébire.

Marie Humbert, qui avait aidé à mourir son fils tétraplégique Vincent en 2003, a estimé que le congé d’accompagnement n’était qu’« une goutte d’eau ». Elle milite pour une légalisation de l’aide à mourir « sous de strictes conditions et dans certains cas extrêmes ». Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la Famille, s’est dite favorable « à titre personnel », à l’exception d’euthanasie « sans en faire un drame national ». Jean-Louis Romero, conseiller régional UMP d’Ile-de-France et président de l’Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD), a dénoncé pour sa part « une hypocrisie ». « On s’est bien moqué de nous. Pendant six mois, ils ont fait semblant de travailler (...) pour nous annoncer rien du tout. C’est faire peu de cas de toute la souffrance qu’il y a aujourd’hui dans notre pays ».

Il est important de comprendre la position dans laquelle se retrouvent ces malades. Ils se savent condamnés et souffrent. Une souffrance morale bien sûr mais aussi et surtout une souffrance physique qui va bien souvent au-delà du supportable. Alors, à l’aube de ce millénaire où tout devient possible, est-ce un crime de vouloir finir sa vie dignement et paisiblement ?

L’euthanasie légalisée en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg

Pour les défenseurs d’un droit de mourir dans la dignité, la France accuse un retard certain par rapport à plusieurs de ses voisins européens. Les Pays-Bas sont les premiers à avoir légalisé - tout en l’encadrant strictement - l’euthanasie en 2001, suivis par la Belgique en 2002 et, très récemment, le Luxembourg. La Suisse, quant à elle, interdit l’euthanasie active mais autorise l’assistance au suicide. En septembre dernier, l’actrice française Maïa Simon, a raconté dans une interview posthume à la radio RTL son choix d’aller mourir en Suisse pour échapper à une loi française qu’elle qualifiait d’ »hypocrite ». Sur son site Internet, l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) rapporte les résultats d’une étude publiée, en 2003, dans la revue médicale britannique The Lancet. Cette enquête révèle, qu’aux Pays-Bas, le vote de la loi n’a guère eu d’incidence sur le nombre d’euthanasies, 3780 ayant été pratiquées en 2001 (sur 34.700 demandes), contre 3100 en 1990 (sur 25.100 demandes).

La vie est un droit, au même titre que la dignité et la liberté. Il y a des souffrances insoutenables et qui le sont d’autant plus quand on les sait inutiles, l’issue étant fatale. Alors, si j’en avais le pouvoir (et certains l’ont !), j’aimerais rajouter un article 31 à la Déclaration des droits de l’homme, article qui défendrait « le droit de mourir... dignement »
Revenir en haut Aller en bas
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeDim 9 Aoû - 23:55

Atteinte d’une tumeur incurable des sinus et de la cloison nasale, aveugle et défigurée, Chantal Sebire avait en vain sollicité auprès de l’Elysée et de la justice le droit d’une aide à mourir. Retrouvée morte le 19 mars 2008, pour une cause encore inconnue, elle avait relancé le débat sur l’euthanasie active, déjà dépénalisée aux Pays-Bas ou en Belgique.

Elle voulait "partir dans la dignité", accompagnée de ses trois enfants et "d’un poème de Louis Amade". Chantal Sebire s’est éteinte mercredi 19 mars 2008, à l’âge de 52 ans, à son domicile de Plombières-lès-Dijon, en Côte-d’Or. Trois semaines après avoir pris la France à témoin de ces souffrances et lancé un appel au secours à travers les médias "pour mourir dans la dignité" en bénéficiant d’une euthanasie active, elle a été retrouvée morte.

Décidée à faire bouger la légistation, elle avait déposé une requête auprès du tribunal de Dijon pour avoir le droit de mourir. Suite au refus de la justice, lundi 17 mars, elle avait laissé entendre qu’elle pourrait aller en Suisse pour bénéficier d’un suicide assisté. Le pays où s’est rendue l’actrice française Maïa Simon, en septembre 2007, pour mettre fin à ses jours et aux souffrances induites par un cancer généralisé incurable, avec l’aide d’une association.

Au-delà de l’émotion suscitée par la médiatisation de ce douloureux dossier, la mort de Chantal Sebire, cinq ans après l’affaire Humbert, relance le débat sur l’euthanasie active, déjà pratiquée légalement dans plusieurs pays d’Europe.

Peu avant la découverte du corps de Mme Sebire, son médecin traitant avait été reçu par le président Sarkozy, en présence du conseiller Santé de l’Elysée et d’un spécialiste parisien. De son côté, le Premier ministre avait demandé, au député Jean Léonetti, rapporteur de la loi de la 2005 instaurant un droit au "laisser mourir" - mais pas à l’euthanasie active -, une mission d’évaluation pour remédier éventuellement à "l’insuffisance de la législation" en la matière.

Actuellement, elle repose sur la loi du 22 avril 2005 sur la fin de vie. Concernant les malades en phase terminale, à la limite entre la vie et la mort, elle donne un "droit à laisser mourir". Le patient a ainsi la possibilité de désigner une "personne de confiance" qui connaît ses convictions intimes sur la fin de vie et de rédiger des "directives anticipées".

Le droit de mourir... Camera-video http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=831
Revenir en haut Aller en bas
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeLun 10 Aoû - 23:38

http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia%3D/Medianet/2007/CBFT/SecondRegard200703181330_2.asx

Le droit de mourir... Camera
Revenir en haut Aller en bas
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeDim 16 Aoû - 18:03

Toujours le même débat, la dignité est donc un mot si difficile à entendre et comprendre !

Notre civilisation en est un point tel que la mort fait peur, mais pas la déchéance, vu comme cela c’est risible !
Il n’y a pas si longtemps de cela, on accompagnait les mourants chez eux, en continuant à vivre avec eux et sans écarter les enfants.

Mais que c’est-il passer pour que l’on change à ce point d’orientation ?
La médecine et ses progrès, oui sans doute, elle y est pour quelque chose !
Mais surtout beaucoup plus d’hypocrisie je pense !

Moyens ou pas, on gardait celui qui va partir dans son univers, auprès des siens !

Je vous conseille d’écouter cette chanson d’Aznavour, même si elle est triste, elle est tout de même moins insoutenable que la souffrance physique et morale non ?

Le droit de mourir... 795394 http://www.deezer.com/listen-3171689

Où se situe l’indécence à partir avec le sourire ?

L’étiquette de mourant d’apposée sur le front implique t’elle que l’on baisse les yeux, que l’on tourne la tête, que l’on adresse plus la parole et que l’on ne les entend plus ?
Mais qui donc colle cette étiquette, je vous le demande ...

Aurait-on plus d’égard pour une plante que pour celui qui va mourir ?

On lui parle à elle !

Qu’une personne ayant été confrontée à cette situation vienne me dire qu’elle n’a pas pensée à un moment, « ça va durer encore longtemps ! »
Une semaine, un mois, des années pour les proches c’est long, alors pour l’intéressé, sait-on posé la question ??

On parle de mourir dignement, mais je crois qu’il serait temps de laisser partir dignement !
Cela vaut dans les deux sens …

Nous sommes capable de respecter les derniéres volotés d'un mort, pas la derniére volonté d'un mourant à méditer !

flower
Revenir en haut Aller en bas
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeSam 10 Oct - 22:47

Un sexagénaire de Juprelle a été placé sous mandat d'arrêt samedi après-midi pour empoisonnement. La victime est son épouse, Charlotte Thonon, 86 ans, avec laquelle il était marié depuis une quarantaine d'années.

L'épouse, gravement malade, est devenue grabataire.
Selon le mari, elle lui a demandé à plusieurs reprises, et la dernière fois vendredi en fin de journée, de "l'aider à partir".

Le mari a fini par céder et a préparé un verre dans lequel il a versé du vin, du porto et une tablette de Temesta ainsi que des gélules de couleur bleue à base de morphine. Il a ensuite aidé son épouse à absorber le contenu du verre et quelques minutes plus tard, elle décédait.

Le médecin de garde, appelé sur place, a constaté que le décès n'était pas naturel. L'époux a reconnu qu'il avait empoisonné sa femme.

Lorsqu'il a appris que son geste devait non seulement le conduire en prison et devant la cour d'assises, l'homme a exprimé des regrets. (belga)
Revenir en haut Aller en bas
geranium
moderateur
moderateur
geranium


Nombre de messages : 7481
Age : 52
humeur : Le droit de mourir... Anges-11
Date d'inscription : 17/04/2008

Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitimeSam 17 Oct - 19:33

Huit ans de prison parce qu'elle a aidé sa mère à mourir


Josiane Humbert, une Française de 52 ans, a été reconnue coupable de l'assassinat de sa mère, atteinte de sclérose en plaques. Elle a été condamnée à 8 ans de prison par la cour d'assises du Rhône.

Josiane Humbert avait reconnu s'être servie d'une couverture pour étouffer sa mère dont elle voulait abréger les souffrances. Celle-ci était clouée dans un fauteuil roulant et prenait de la morphine pour traiter ses douleurs mais n'était pas en fin de vie. Le drame a eu lieu pendant qu'elle dormait, le jour de la Fête des mères, en 2005.

Le mari de Josiane Humbert, poursuivi pour non-dénonciation de crime, a quant à lui été condamné à deux ans de prison avec sursis. (belga/chds)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Le droit de mourir... Empty
MessageSujet: Re: Le droit de mourir...   Le droit de mourir... Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Le droit de mourir...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» l'impression de mourir
» Cet enfant risque de mourir s'il rit

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'exode du Paranormal :: PARANORMAL :: GENERAL ET INCLASSABLE :: FAITS DIVERS - ACTUALITES-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser