L'exode du Paranormal
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geranium
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MessageSujet: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 26 Avr - 15:05


Twitter est un outil de réseau social et de microblogage qui permet à l'utilisateur de signaler à son réseau "ce qu'il est en train de faire". Il est possible d'envoyer et de recevoir ces messages par Internet, par messagerie instantanée ou par messagerie numérique.

On appelle ces messages des tweets (gazouillis en anglais). La particularité des tweets : ils sont courts, d'une longueur maximale de 140 caractères, ce qui permet de mettre à jour son Twitter de manière brève et spontanée


Twitter a débuté en mars 2006, à San Francisco, en tant que projet de recherche et développement, au sein de la start-up Odeo Inc., via Noah Glass et Jack Dorsey[1], ancien répartiteur au 911, numéro centralisé des urgences.

La différence entre Twitter et un blog traditionnel réside dans le fait que Twitter n'appelle pas directement une participation à commenter les messages postés. Le principe de Twitter est de relater ce qu'on fait au moment où on écrit le message.


http://fr.wikipedia.org


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MessageSujet: Re: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 26 Avr - 15:09

Le cerveau Twitter

(Agence Science-Presse) - Arrivant à point nommé pour satisfaire les anti-Twitter, une étude conclut que le flot rapide d’informations courtes et fugitives, qui déferle sur nous de partout, pourrait « perturber notre cerveau ».

L’étude ne porte toutefois pas sur Twitter, contrairement à ce que plusieurs ont « twitté ». Elle ne porte même pas sur les messages électroniques qui nous submergent par ordinateurs, iPhone et autres Blackberry. L’étude s’intéressait au temps de réaction des cerveaux de 13 volontaires, face à diverses émotions. Tout particulièrement les émotions « sociales », celles par lesquelles nous construisons nos rapports en société.

« Pour certains types de pensées, nous avons besoin d’un temps adéquat pour réfléchir », explique la neurologue Mary Helen Immordino-Yang dans le communiqué de presse émis par l’Université de Californie du Sud. Certes, notre cerveau est capable de traiter quantité d’informations en une fraction de seconde. Mais pour certaines informations, celles relatives à ces émotions « sociales », comme l’admiration que nous avons pour les autres ou la compassion, les délais pour notre cerveau s’élèvent jusqu’à six ou même 12 secondes.

Quel rapport entre tout cela et Twitter? C’est que, dans son dernier tiers, cette étude, parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, contient ce que plusieurs études du genre contiennent : une « discussion », c’est-à-dire des paragraphes où sont évoquées différentes interprétations possibles des résultats. Et c’est à cet endroit qu’on peut lire que

Pour que des émotions sur la situation psychologique des autres personnes puissent être traitées et vécues, un temps additionnel peut être requis... La rapidité et le traitement parallèle d’informations nécessitant de l’attention, qui est la marque de l’ère numérique, pourraient réduire la fréquence à laquelle nous expérimentons de telles émotions, avec des conséquences potentiellement négatives.

Il se trouve que c’est sur cette spéculation que les auteurs du communiqué de l’Université de Californie du Sud ont choisi de mettre l’accent; c’est de là, « les effets néfastes de Twitter » se sont mérité des articles dans la presse américaine et britannique.

Une chose est sûre : notre cerveau n’est pas aussi préparé qu’on l’imagine à subir un bombardement d’une telle ampleur, et en continu. Mais l’auteure principale de l’étude prend bien soin de souligner qu’elle ne blâme pas les nouveaux outils d’Internet : « ceci n’est pas à propos des outils que vous possédez, c’est à propos de l’usage que vous faites de ces outils ».

Pascal Lapointe
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MessageSujet: Re: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 2 Aoû - 18:48

Le psychologue Richard Wiseman, d’ordinaire sceptique vis-à-vis de la parapsychologie, a réalisé une expérience très originale pour tester la vision en distance sur Twitter. Pour ceux qui ignorent ce qu’est Twitter, il s’agit tout simplement d’espaces personnalisés où on peut écrire de très courts messages sur ce qui nous passe par la tête, pour recevoir de très courts messages de gens qui n’ont rien d’autre à faire que de nous lire. Avec cet outil Internet moderne, il a été possible d’attirer des milliers de volontaires très facilement pour 4 sessions de «remote viewing» (clairvoyance). Quels sont les résultats? Que peut-on en penser?

Quand un sceptique réalise une expérience

Wiseman a présenté sa méthode très clairement ici: à quatre reprises, il se rendra dans un lieu précis et prendra une photographie. Ce lieu sera sélectionné parmi 5 à l’aide d’un site générant un choix vraiment aléatoire. Il soumettra ensuite sur Twitter 5 photographies dont celle de l’endroit où il était. Toutes les réponses seront enregistrées, et si la majorité des réponses désignent le bon lieu sur les 5, alors ce sera un succès. Un score de trois succès sur les quatre sessions constituera une preuve que le remote viewing… mérite davantage d’études! Une petite vidéo vaut mieux qu’un long discours:

Les résultats sont de 0 succès sur les 4 essais avec plus d’un millier de participants. Wiseman conclut ceci (ma traduction):

«Quand j’ai analysé les résultats des croyants au psi et des sceptiques, ils furent identiques, sans différence entre les groupes. Donc l’étude ne supporte pas l’existence du remote viewing, et suggère que ceux qui croient au paranormal sont enclins à trouver des correspondances illusoires entre leurs pensées et une cible.»

Cette conclusion est un peu étrange car les sceptiques qui se sont prêtés au jeu ont aussi établi des correspondances illusoires entre leurs pensées et la cible. En fait, l’étude n’apporte rien car la capacité à associer le fruit de notre imagination avec une image est commune à tous. On peut voir ici et ici que même le fait de transformer ces pensées en dessins de formes abstraites, des sortes de fragment de perceptions psi, peut conduire à faire le choix d’une mauvaise cible très ressemblante. Puisqu’il est impossible de démontrer une impossibilité, on doit se ranger du côté de Wiseman en disant que ça fait 4 «points» en moins pour les recherches sur le remote viewing.

Tout le monde, même parmi les critiques, a souligné l’originalité et l’intérêt de cette petite étude. Grâce à Twitter, Wiseman a renouvelé le genre de l’expérience de parapsychologie en montrant comme elle était simple et accessible. Trop peu de sceptiques réalisent des expériences, et le geste de Wiseman montre qu’on ne se change pas en citrouille psiphile au contact de la parapsychologie expérimentale. Si l’expérience a pu amené des personnes à s’intéresser davantage à la science, c’est que le pari est gagné.

Qu’est-ce que cela vaut?

Il n’a pas manqué de gens pour être mécontents de cette expérience. Wiseman est connu à la fois pour ses recherches de qualité et ses pratiques de «debunking» qui rendent même James Randi jaloux. Il sait renouveler le genre, parler aux médias et faire passer son avis pour celui de la communauté scientifique. Il peut se prévaloir d’être professeur à l’Université d’Hertfordshire, une petite université anglaise qui le paye sans qu’il n’ait à donner de cours car il fait tellement de bruit que les retombées publicitaires sont du pain béni pour Hertfordshire.

Examinons les critiques de l’expérience publiées par l’International Remote Viewing Association le 7 juin 2009. L’IRVA est un organisme dont plusieurs membres ont participé au projet Stargate d’application militaire de la parapsychologie par les États-Unis. Ils défendent une approche scientifique du remote viewing, au milieu d’une cohorte d’illuminés et de profiteurs. L’expérience de Wiseman leur est un peu resté au travers de la gorge, car ses quatre petites sessions ont fait couler plus d’e-ink que les recherches de longue haleine qu’ils mènent depuis des années.

Certaines de leurs critiques laissent à désirer: ils reprochent à Wiseman de mal choisir ses cibles parce qu’il compose des lots où les lieux se ressemblent trop entre eux. Ce manque «d’orthogonalité», comme ils disent dans leur jargon, gène le travail des «remote viewers» qui auront tendance à hésiter devant plusieurs cibles similaires lors de la phase de jugement. Toutefois, aucun critère objectif d’orthogonalité n’est proposé dans l’article. Wiseman dit avoir fait son possible. Il a même pris soin de prendre les photos avec une luminosité identique et des angles de vue rapprochés pour les rendre assez nettes. Cela est considéré comme insuffisant du côté des «professionnels»: il faudrait choisir un angle de vue assez large mais pas trop, et «l’expérience» serait le meilleur conseil.

Autre critique discutable, celle qui consiste à dire que les scores des meilleurs remote viewers seront noyés dans les scores de la majorité des mauvais. Comme si la vision à distance ne serait affaire que d’une élite, ce qui va à l’encontre des travaux universalistes de Rhine, le père de la parapsychologie américaine! Les pauvres sujets n’auront d’ailleurs pas reçu les instructions pour bien faire du remote viewing, si bien qu’ils ne feront que ce qu’ils croient être du remote viewing. Selon l’IRVA, l’expérience de Wiseman passerait à côté de son sujet (ma traduction):

«On ne pourrait pas présenter un vélo à quelqu’un qui ne sait pas comment s’en servir, puis conclure que faire du vélo est impossible lorsque la personne échouera dans sa tentative pour en faire.»

Avec de telles critiques, l’IRVA n’est pas très convaincante. Ces critiques sont largement desservies par ces appels à une analyse subtile (ou plutôt, subjective) pour choisir les lots et les cibles qui les composent, et une croyance au «trained remote viewer».

Heureusement, l’IRVA propose d’autres choses. L’auteur de l’article, le président de l’IRVA Paul H. Smith, se demande s’il n’était pas techniquement faisable de tricher à cette expérience en ligne. Est-ce que Twitter permet vraiment d’éviter les manipulations? Vu le peu de temps que prend la création d’un compte, il semble techniquement faisable qu’une personne ou qu’un groupe d’individus poste plusieurs réponses avec plusieurs identifiants. S’il les choisisse aléatoirement, à contre-sens de l’objectif de ce test, leurs réponses pourraient largement influer sur les résultats (puisque c’est la réponse majoritaire qui est sélectionnée).

En somme, les critiques n’ont rien à redire sur le protocole sinon qu’il ne favorise peut-être pas assez le «bon» remote viewing. Mais avant qu’il y ait du «bon» et du «mauvais» remote viewing, encore faudrait-il qu’il y en ait, tout simplement. Les résultats du projet Stargate avec des espions psychiques sélectionnés et entraînés restent controversés. Si bien qu’on peut penser qu’une expérience accessible à tous reste une approche potentiellement valable. Peut-être qu’il faut rajouter quelques contraintes techniques pour que Twitter soit assez sécurisé, mais rien d’insurmontable.
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MessageSujet: Re: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 2 Aoû - 18:50

Et pourtant ce n’était qu’un leurre…

Il y a quand même deux gros problèmes avec cette expérience: elle ne compte que quatre essais! Qu’est-ce qu’on peut dire de quatre essais? Rien. Ni pour, ni contre.

Les études antérieures sur le remote viewing regroupent des milliers de sessions avec des très bons pourcentages de réussite. Par exemple, la professeure de statistiques Jessica Utts s’est vu confiée la tâche de l’analyse du programme Stargate (voir son Évaluation de preuves en faveur de l’existence des phénomènes psi). De 1973 à 1988, il y a eu 154 expériences pour plus de 26000 essais, avec une chance sur 1020 que ce soit dû au hasard. Utts dit qu’il y avait quelques défauts méthodologiques dans les premières études, mais qu’on ne retrouve plus dans les suivantes au SAIC. Bref, le simple fait de comparer la publicité de Wiseman pour ses 4 essais et le labeur des chercheurs en parapsychologie, c’est du debunking.

L’autre gros problème, c’est que Wiseman a fixé arbitrairement le seuil de succès, le plaçant à 3 réussites sur 4 sessions, ce qui fait une probabilité d’1 chance contre 37. C’est largement au dessus du seuil standard. Si on doit deviner la bonne cible parmi 5 possibles, alors on a une chance sur 5. Avec 2 réussites sur 5 essais, on est déjà au-dessus du hasard. Le seuil moyen de vérifier s’il y a un effet, c’est de faire suffisamment d’essais pour avoir une puissance statistique suffisante. Si on a un score constant de 2 réussites là où 1 seule était attendue, alors il y a un effet significatif. Inutile d’attendre 3 réussites sur 4.

Et pourquoi pas 4 réussites sur 4? Wiseman laisse tout de même une chance au super remote viewer de se tromper. Quel geste noble! En fait, tout cela est très subjectif. Le protocole de Wiseman souffre en fait d’un biais connu sous le nom de «double standard»: il y a des règles qui s’appliquent à la science, et d’autres qui s’appliqueraient à la science des phénomènes paranormaux. Cela peut aller dans un sens comme dans l’autre. Certains parapsychologues tentent désespérément de changer un peu les règles de la science pour forcer des boules à rentrer dans des trous carrés. Ils se font rapidement taper sur les doigts. Mais il y a aussi des sceptiques, dont Wiseman, qui décrètent l’application de nouveaux seuils statistiques assez haut pour que le psi qui passe en dessous reste ignoré. Encore du pur «debunking», totalement impuni.

Ce n’est pas la première fois que cela arrive: avec Natasha Demkina, la jeune russe qui disait diagnostiquer des maladies par voyance, le test réalisé par des sceptiques impliquait de diagnostiquer correctement 6 maladies au moins chez 7 personnes. Elle n’en trouva que 4 devant les caméras de Discovery Channel. En fait, comme l’indiquait le prix Nobel Brian Josephson, dénonçant cette propagande pseudo-expérimental des sceptiques, les 4 diagnostics exacts de Natasha n’avaient qu’une chance sur 50 d’être dû au hasard. Suivant où l’on place le standard, Natasha avait réussi ou échoué.

Deux poids, deux mesures?

Pour expliquer son choix d’un seuil surélevé, le psychologue sceptique Ray Hyman expliqua alors que «des affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires». La même justification est donnée aujourd’hui par le psychologue sceptique Jean-Michel Abrassart pour les expériences de Wiseman utilisant Twitter. Il nous explique ici:

«L’existence de la vision à distance a une plausibilité antérieure extrêmement faible. En effet, les parapsychologues ont échoué jusqu’à présent à prouver l’existence du Psi et il n’existe aucun mécanisme connu pour expliquer comment la vision à distance pourrait fonctionner. Les neuropsychologues n’ont en effet rien identifié dans le cerveau qui pourrait s’apparenter à un système d’émission-réception.»

Du coup, face à une hypothèse à la plausibilité antérieure très très faible, il est logique de sélectionner un seuil élevé! En effet, pour prouver une hypothèse à la plausibilité antérieure extrêmement faible, il faut de très nombreuses preuves robustes pour changer le paradigme dominant.»

En somme, les sceptiques ont le droit de faire intervenir des préjugés directement dans la construction d’un protocole scientifique. Il ne s’agit plus de se cacher, de repousser des résultats à cause de préjugés, dans une réaction psychosociale compréhensible (notamment en termes de dissonance cognitive). Non, les sceptiques passent à l’action. Ils pensent légitimes de sortir de la science pour proposer un nouveau standard scientifique. Et ce standard n’a rien d’un ensemble de règles fixées objectivement et consensuellement. Les notions de base sont celles de «preuve extraordinaire», «plausibilité antérieure extrêmement faible», «paradigme dominant»… Des formules complètement subjectives ou creuses dès qu’on se met à réfléchir à la façon de les objectiver. C’est ainsi que Wiseman peut fixer à sa convenance un seuil de significativité en fonction du nombre d’essais. Personne ne le blâme, et les médias l’encensent.

Abrassart justifie d’ailleurs dans le même billet le fait de ne faire que 4 essais en disant qu’il est malhonnête de demander à Wiseman de faire plus à lui tout seul. C’est que ces expériences sont très coûteuses en ressources, en temps et en énergie. Puis, s’il y a trop de tests, les participants viendraient moins nombreux… Aller expliquer cela à des chercheurs qui ont fait des milliers de sessions durant des décennies, et dont les travaux sont mis en balance avec une petite expérience conduite par un sceptique médiatique!

Mais peut-on vraiment se passer de nos préjugés? Pourquoi doit-on se poser, pour les phénomènes paranormaux, la question de savoir ce qui nous convaincra? C’est une façon de subjectiver la question de la preuve, et de sortir en fait d’un idéal scientifique pour entrer dans un postmodernisme en actes. La nouvelle philosophie des sciences ne peut que se réjouir de ces exemples où il n’est plus besoin d’enquêter sur l’importance des influences psychologiques et sociologiques sur le travail du chercheur. Il suffit maintenant de voir évoluer ces protocoles avec un biais de double standard, propulsés devant des médias naïfs et des internautes par milliers, pour constater que le debunking techno-scientiifque est une forme moderne de «science telle qu’elle se fait».



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MessageSujet: Re: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 2 Aoû - 18:52

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MessageSujet: Re: TWITTER ...   TWITTER ... Icon_minitimeDim 6 Sep - 14:47

Twitter... ou comment parler avec Dieu ?



TWITTER ... 43171754_p Article du nouvelobs.com – août 2009

Un étudiant propose sur le site de micoblogging de recueillir les messages d'internautes afin de les placer dans les fentes du mur des Lamentations à Jérusalem.

Twitter, une interface avec Dieu ? Un étudiant israélien s'est crée un compte sur le site de microblogging pour collecter les prières des internautes et les placer dans les fentes du mur des Lamentations, à Jérusalem.

Selon la tradition juive, les croyants qui souhaitent s'adresser à Dieu glissent de petits morceaux de papier dans le mur, lieu saint du judaïsme.

"Je recueille leurs prières, je les imprime et je me rends à Jérusalem pour les insérer dans le mur des Lamentations", explique Alon Nir, qui réside à Tel Aviv.

Prière en 140 caractères

Il espère que son initiative, qui profite du succès du site basé sur la publication de courts messages baptisés "tweets"("piaillements"), sera "bénéfique pour autrui partout dans le monde".

Les prières, dont la longueur ne peut dépasser 140 caractères, doivent lui être envoyées par message personnel. Alon Nir a déjà acheminé quelque 1.000 suppliques.

Plusieurs autres plates-formes proposaient déjà ce genre de service, par courrier électronique, SMS ou fax. Les services postaux israéliens disent également recevoir des prières par courrier postal, certains messages débutant même par "Cher Dieu".
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