L'exode du Paranormal
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 ELEONORE PIPER 1857 - 1950

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geranium
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geranium


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ELEONORE PIPER      1857 - 1950 Empty
MessageSujet: ELEONORE PIPER 1857 - 1950   ELEONORE PIPER      1857 - 1950 Icon_minitimeLun 16 Mar - 17:35

ELEONORE PIPER      1857 - 1950 LeonorepiperUne des plus spectaculaires et des plus remarquables médiums mentales qui vécut fut l’Américaine Madame Leonore Piper de Boston. Pas un, même pas le plus fermé des sceptiques, après l’étude de sa médiumnité durant presque trente ans n’a jamais évoqué la fraude.

Le Professeur William James, professeur de psychologie à l’université de Harvard, organisa personnellement des séances pour elle pendant un an et demi. Puis le professeur Richard Hodgson, le plus grand professeur de droit, et à la plus grande notoriété, prit sa suite. Et finalement le Professeur James hyslop, professeur de logique et d’éthique de la Columbia University dirigea les investigations.

Ensemble ils amenèrent des centaines de participants sous des faux noms, ils embauchèrent des détectives pour suivre la médium et intercepter son courrier. Elle fut amenée en Angleterre où elle ne connaissait personne et ils firent en sorte qu’elle demeure avec des membres de la Société Britannique de Recherche Psychique où elle pouvait être constamment sous contrôle.

Elle entrait en transe, puis un contact – une intelligence de l’après-vie portant le nom de Dr Phinuit – prenait place et commençait à donner beaucoup d’informations précises et de messages venant de ceux qui étaient décédés.

Juste un exemple parmi beaucoup de milliers couvrant des décennies dans lequel Madame Piper était extrêmement précise dans sa médiumnité, c’est lorsque le Révérend et Madame S. W. Sutton participèrent à une séance en 1983. Les Sutton, selon le rapport de Richard Hodgson, étaient des personnes très intelligentes. Ils participèrent à une séance avec Madame Piper pour voir s’ils pouvaient contacter leur petite fille récemment décédée. Hodgson convia une sténographe de sorte que ce qui était dit au travers de Madame Piper au sujet de la petite fille des Sutton est maintenant inscrit dans les archives de la Societé pour la Recherche Psychique (voir le compte rendu 1898 : 284-582).

Piper était capable d’établir un contact entre les Sutton et leur très aimée petite fille depuis l’après-vie. L’information ne laissait aucun doute sur le fait que la petite fille communiquait réellement depuis l’après-vie avec sa mère et son père encore vivants sur le plan terrestre.

Elle confirma qu’elle avait l’habitude de mordre des boutons. Elle identifia son Oncle Franck et un ami qui était mort d’une tumeur et elle fit référence à son frère par son surnom. Elle fit référence à son mal de gorge et à sa langue paralysée et au fait que souvent elle avait chaud à la tête avant sa mort. Elle parla de Dina sa poupée, de sa sœur Maggie, et du petit cheval, son jouet. Elle chanta aussi deux chansons, les mêmes chansons qu’elle avait chantées juste avant de mourir. Les Sutton n’avaient aucun doute sur le fait qu’ils avaient établi un contact avec leur petite fille et étaient particulièrement heureux quand elle les rassura : ‘Je suis heureuse…pleure plus pour moi’.

Un très important pouvoir que Madame Piper devait développer fut l’aptitude à avoir deux intelligences communiquant avec elle en même temps. Un enquêteur de la Société pour la Recherche Psychique (SPR) Richard Hodgson, établit dans un de ses rapports à la SPR qu’il avait été témoin de ce qu’une intelligence de l’après-vie communiquait grâce à Madame Piper avec un participant tandis que Madame Piper était inconsciente et en même temps que sa main écrivait un message sur un sujet différent qui n’avait rien à voir, concernant Hodgson lui-même.

Des sceptiques convertis

Initialement il y avait eu beaucoup de critique et de scepticisme au sujet de la médiumnité de Madame Piper. Mais lorsque l’information et les messages de l’après-vie devinrent si régulièrement précis pendant tant d’années, alors même le second membre de la SPR le plus sceptique, Richard Hodgson, concéda formellement que la médiumnité de Madame Piper était authentique et il reconnut que l’information était issue d’intelligences de l’après-vie.

Les dirigeants de la SPR attendaient de Richard Hodgson qu’il discrédite tous les médiums, dont Madame Blavatsky et Eusapia Paladino. Il avait été spécialement choisi par la SPR et envoyé investiguer la médiumnité de Madame Piper à ses tout débuts. Avant qu’il aille enquêter sur Madame Piper il déclara qu’il allait montrer comment elle s’y prenait pour tricher avec tant de succès, ou avec ses mots, comment Madame Piper obtenait ses informations, ‘par des moyens ordinaires, tels que des demandes à des complices’.

Complètement étudiée

Hodgson était déterminé à confondre Madame Piper. Il engagea des enquêteurs privés pour la suivre, pour rapporter qui elle rencontrait hors de chez elle, pour intercepter son courrier, pour inviter des faux participants inconnus de tous à ses séances et pour faire l’impossible pour prouver que Madame Piper n’était pas une médium authentique.

En dépit de toute l’opposition et de toute l’obstruction et des contrôles, l’information incroyablement précise continua de couler de Madame Piper. Alors Hodgson commença à arguer que son contact, le Dr Phinuit, était une portion dédoublée de l’esprit de Madame Piper. Il était avancé que puisque le Dr Phinuit n’était pas en mesure d’identifier qui il était lorsqu’il faisait partie de notre dimension, il ne pouvait pas être réel. Ou que parce qu’il ne pouvait pas répondre à certaines questions sur la philosophie il n’existait pas réellement. Ou que la télépathie expliquait tout. Le but de ces arguments évidemment était de dénier l’existence de l’après-vie.

Les limites de Hodgson

Clairement, les objections de Hodgson n’étaient techniquement pas valables. Ceux qui écrivent au sujet des phénomènes psychiques, même des écrivains contemporains, ont été trop disposés à écrire favorablement sur les déclarations de Hodgson au sujet des médiums. Mais ces écrivains :

- échouèrent à montrer qu’il était sous une forte pression de la part des dirigeants de la SPR pour trouver quelque chose contre les médiums

- échouèrent à montrer que la présomption de fraude de Hodgson était une variable négative externe incontrôlée.

- échouèrent à montrer l’obligation placée sur Hodgson de réfuter techniquement les preuves produites par Madame Piper sur l’après-vie

- échouèrent à critiquer Hodgson pour n’avoir pas usé de la
science pour rejeter l’après-vie

- échouèrent à montrer qu’il n’était pas sensible ni n’avait la
connaissance psychique essentielle pour gérer proprement la validité et la fiabilité des examens.

Dans ses objections initiales Hodgson lui-même échoua à montrer que :
- son affirmation au sujet de la télépathie était valide

- .Madame Piper avait le pouvoir de lire les pensées d’autrui
- Madame Piper pouvait lire les pensées pendant une séance, étant inconsciente

- La télépathie de Madame Piper s’étendait jusqu’à ceux qui étaient distants de centaines de kilomètres de la séance pendant qu’elle était inconsciente

- l’information précise ne venait pas d’intelligences de l’après-vie

- l’information était transmise par un esprit dédoublé

Il n’y a pas d’échappatoire à s’encombrer du fardeau des preuves. Il incombait clairement à Hodgson de prouver que ses objections étaient valides. Mais il ne prouva rien. Il dit simplement :

‘...Je ne peux rien prouver du tout. Je ne peux pas prouver qu’il y ait fraude. Je ne peux pas prouver la tricherie contre Madame Piper mais croyez moi ; ne croyez personne excepté moi ; croyez moi parce que j’ai seul la vérité sur ces choses mais personne d’autre ne l’a.'

Ce genre de déclaration dogmatique personnelle, intentionnellement préjudiciable, sans substance n’était pas la façon professionnelle de présenter la réfutation, ni ne l’est de nos jours.

Nous savons que par la suite Hodgson allait ravaler ses objections, ses refus, son arrogance, son intransigeance contre l’acceptation des phénomènes psychiques et confesser à contre cœur que la communication spirite était la seule explication pour l’information régulièrement précise que lui et d’autres recevaient.

Il était vraiment très absurde de la part de ces enquêteurs de la SPR, après avoir reçu continuellement une information brillante et tout à fait précise parmi des centaines d’autres choses, de déclarer qu’il n’était pas possible pour une intelligence de l’après-vie de guider Madame Piper.

La situation arriva à ce qu’un grand nombre de personnes acceptèrent la preuve de l’après-vie de Madame piper parce qu’elles recevaient une information précise mais que les sceptiques à l’esprit fermé, dirigeant la SPR ne le firent pas. Leur stratégie consistait à penser que s’ils pouvaient détruire son contact Phinuit, ils détruiraient toute notion que quelqu’un de l’après-vie était concerné.

Ce doit être de la télépathie !

Quand les sceptiques à l’esprit fermé échouèrent à discréditer Madame Piper, leur nouvelle attaque fut que madame Piper, étant en transe – c'est-à-dire pendant qu’elle était totalement inconsciente - lisait dans les pensées de ceux qui étaient en séance et les pensées d’autres personnes se trouvant à des centaines de kilomètres de l’endroit où se tenait la séance ! Il y a quelque chose de très bizarre dans ce que les chefs des sceptiques de la Société pour la Recherche Psychique (comme Hodgson initialement, et Franck Podmore) qui n’avaient jamais accepté la télépathie, retournèrent leur veste et déclarèrent ‘ce doit être de la télépathie’ ! Quand la preuve de l’après-vie donnée par Madame Piper fut devenue objective, scientifique, infaillible et absolue.

Les faits concernant Madame Piper ne sont pas dicutés. Différents auteurs reconnaissent que le Dr Phinuit fut son premier contact. Mais ensuite un des propres amis de Hodgson, George Pellew mourut soudainement et il prit la place du Dr Phinuit, se manifestant à travers Madame Piper en transe. Hodgson se trouvait alors en position privilégiée pour poser à son ami décédé des milliers de questions sur leur relation. Pendant des années Madame Piper – ou mieux George Pellew s’exprimant à travers elle – répondit aux milliers de questions correctement.

Un test incroyable

Pendant plusieurs mois Hodgson amena plus de 150 participants aux séances de Madame Piper en transe. Trente de ceux-ci avaient connu George Pellew de son vivant – les autres ne l’avaient jamais rencontré. George Pellew était en mesure d’identifier correctement tous les participants qu’il avait connus. La plupart d’entre eux s’assirent et parlèrent du passé avec George Pellew, parlant par l’intermédiare de Madame Piper, comme s’il était là en chair et en os. Sa seule erreur fut de ne pas réussir à identifier une personne qu’il n’avait pas connue puisque la personne était une toute petite fille !

Ces réunions étaient si absolument impressionnantes que Richard Hodgson écrivit son rapport expliquant en détails pourquoi il s’était trompé dans ses précédents rapports et que maintenant il avait définitivement accepté l’existence de l’après-vie. Il déclara qu’il avait communiqué avec des intelligences de l’après-vie et qu’il était impatient de se rendre là bas lui-même !

Hodgson admet l’authenticité de la médiumnité de Madame Piper
Le scepticisme dur de Richard Hodgson l’avait conduit à faire quelques unes des plus horribles bourdes de l’histoire psychique. Mais elles s’achevèrent avec Madame Piper. Il prit acte de l’existence de l’après-vie disant :

...maintenant je n’ai plus aucun doute sur ce que les ‘communicateurs’ dont j’ai parlé dans les pages précédentes, sont véritablement les personnalités qu’ils disent être, qu’ils ont survécu au changement qu’on appelle la mort, et qu’ils ont communiqué directement avec nous que nous appelons les vivants, au travers de l’organisme en transe de Madame Piper (Compte rendu de la SPR vol 13, 1898, H 10).

C’était très étonnant. Voila quelqu’un dont l’immaturité d’avant, la relative incompétence et l’inexpérience avaient aidé à détruire la crédibilité de deux médiums internationaux qu’il n’avait pas pris le temps d’étudier à fond. Quand il étudia vraiment Madame Piper il accepta l’idée de l’après-vie parce que la preuve persistante demeurait simplement durant des années. Hodgson était vaincu par un médium mental et il le savait.

Madame Piper la brillante médium Américaine douée gagna de manière répétée d’autres batailles contre les sceptiques à l’esprit fermé, souvent des sceptiques malhonnêtes et négatifs. L’histoire enregistre cette très grande victoire d’une médiumnité authentique communiquant avec des intelligences de l’après-vie.

Des géants de la science humiliés Quelques uns des plus éminents scientifiques après avoir étudié la médiumnité de Madame Piper furent d’accord unanimement en termes absolus que Madame Piper avait prouvé l’existence de l’après-vie. Selon le livre faisant autorité, du lauréat du Prix Nobel le Professeur Charles Richet sur les phénomènes psychiques, Notre Sixième Sens (1927), Frédérick Myers, un des membres les plus distingués de la Société pour la Recherche Psychique, déclara:

Les messages m’étaient donnés et certaines circonstances indiquaient qu’il était impossible que madame Piper soit informée (Richet 1927: 128).
Sir Oliver Lodge, un des scientifiques les plus distingués que ce monde ait connu, déclara:

Je me suis assuré que beaucoup d’informations fournies par Madame Piper en transe n’avaient pas été acquises par une méthode ordinaire de tous les jours et excluent l’usage des voies sensorielles normales (Richet 1927: 128).

Le Professeur William James des Etats-Unis, initialement un sceptique dur et un des géants intellectuels les plus inspirés de son temps, admit :

Je suis absolument certain que Madame Piper, dans un état de transe, connaît des choses qu’il lui aurait été impossible de connaître en état d’éveil (Richet 1927: 128).

Le Professeur Hyslop, professeur de logique et d’éthique de la Columbia University aux Etats-Unis, un des sceptiques les plus obstinés qui, pendant de nombreuses années, dissémina beaucoup de propagande anti psychique, en vint à admettre l’authenticité de la médiumnité de Madame Piper.


http://preuvesdelapresvie.fr/chapter14.htm
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MessageSujet: Re: ELEONORE PIPER 1857 - 1950   ELEONORE PIPER      1857 - 1950 Icon_minitimeDim 15 Nov - 17:24

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