L'exode du Paranormal
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 ESPION VOUS AVEZ DIT ?

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geranium
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MessageSujet: ESPION VOUS AVEZ DIT ?   ESPION VOUS AVEZ DIT ? Icon_minitimeDim 1 Fév - 14:56

ESPION VOUS AVEZ DIT ? Espion


Un reportage consacré à l’histoire de l’espionnage militaire extrasensoriel américain ; un document de référence pour toutes les personnes intéressées par le concept de vision à distance, puisqu’il regroupe l’ensemble des expériences parapsychologiques les plus étranges développées au sein des départements secrets de l’armée U.S. et du pentagone.
Retour sur la genèse de la recherche sur la vision a distance, et sur les premiers projets d’espionnage... avec utilisation de capacités psi. Au-delà d'un simple phénomène paranormal ce dossier nous plonge dans la réalité du complot et de l'espionnage de notre époque


Premières expériences de visions à distance

Skip Atwater, un officier sorti de l’école d’espionnage de Fort Huachuca (Arizona), arriva à Fort Meade, dans le Maryland, au cours de l’été 1977 ; cet homme s’intéressait fortement aux phénomènes psi.

Au début de sa carrière militaire, Atwater avait entendu parler des recherches psi faites dans les pays de l’Est, dont l’Union Soviétique. Il apprit aussi que la recherche psi de la CIA avait été entreprise dès 1972, au Stanford Research Institute (SRI), Menlo Park (Californie).

Les chercheurs du SRI s’étaient concentré sur la clairvoyance à des fins d’espionnage : la « vision à distance » (Remote Viewing ou RV). Atwater proposa alors au colonel Robert Keenan qu’une petite équipe soit réunie, ses membres pouvant être recrutés parmi le personnel du renseignement militaire.

Le projet d’Atwater reçut initialement le nom de code : Gondola Wish. En compagnie du major Watt, il sélectionna les candidats, parmi lesquels figuraient Mel Riley et Joe McMoneagle.

:shock: La première séance de ‘Remote View’ fut réalisée par Mel Riley : une « RV mobile » au cours de laquelle un expérimentateur se dirigeait vers un site choisi au hasard. Le visualisateur à distance devait alors décrire l’environnement du sujet en faisant des croquis spontanés et en verbalisant les impressions venant à la conscience.

Riley identifia certains éléments de la cible, mais pas très précisément. Tour à tour, les 6 membres les plus prometteurs de l’équipe se rendirent sur le campus du SRI (Melo Park, Californie) pour des expériences de RV mobiles.
Un jour, on demanda à Mel Riley de « cibler » Scotty Watt. Riley eut un goût de chocolat en bouche et il vit un bocal de verre plein de pièces de monnaie.
Puis il sentit une route et un groupe de voitures. Watt emmena Atwater et Riley sur le site-cible, une concession Volkswagen, le long d’une grande route à quelques kilomètres de Fort Meade. Au début de la séance, Watt s’était trouvé dans une supérette où il avait acheté et mangé une barre de chocolat, un bocal plein d’argent se trouvant sur le comptoir près de la caisse...

Atwater essaya également de gagner la loterie du Maryland, mais les visualiseurs échouèrent. Riley et McMoneagle ne purent non plus découvrir un trésor qui aurait été enterré quelque part en Virginie. Malgré des résultats mitigés et aléatoires, un mémo de l’armée mentionne que les expériences préliminaires présentaient “un fort taux d’intérêt”.

Fin 1978, l’unité de médiums fut alors connue sous le nom de « Service d’action spéciale », et le nom de code Gondola Wish fut remplacé par Grill Flame, un programme secret lancé par le Pentagone sous la direction du major général Thompson, chef d’état-major adjoint de l’armée, chargé du renseignement.

L’unité comportait les ‘‘remote viewers’’ (visualiseurs à distance) les plus performants, sous la direction de Skip Atwater.
On demanda en premier lieu à cette unité spéciale du renseignement militaire de prédire la zone de chute de Skylab (dont on attendait le retour en juillet 1979). L’adjudant-chef Joe McMoneagle visualisa la station orbitale tomber dans le Pacifique Sud entre l’Australie et l’Indonésie.
Quelques semaines après, Skylab rentra dans l’atmosphère au-dessus de l’Australie orientale…


Visualisation à distance : 5 cas qui prouvent la réalité du phénomène

:face: Cas n°1 : Un avion de chasse A-6 de la Navy avait été perdu quelque part dans le monde. Le médium Ken Bell décrivit une zone boisée et les vestiges noircis de l’appareil et de l’équipage. Plusieurs fois au cours de la séance, il capta le mot « bald » (chauve). Plus tard, Atwater découvrit que l’avion s’était écrasé sur le flanc d’une colline dans la chaîne montagneuse des Blue Ridge Mountains (une partie des Appalaches, Virginie), la colline s’appelant Bald Knob (« Mont Chauve »).

:face: Cas n°2 : Un hélicoptère américain était tombé dans un coin perdu du Pérou. Ken Bell se vit dans les hauteurs des Andes, sur le site du crash, avec le pilote et le copilote morts, brisés et brûlés. Bell se mit à sangloter sans pouvoir se contrôler, et la séance dû être interrompue.

:face: Cas n°3 : Dans les années 1980, Norm Everheart, un spécialiste des opérations techniques de la CIA, apporta une photographie à Fort Meade représentant une cible, celle d’un « clandestin » du KGB, un agent infiltré qui avait pris une identité étrangère. On pensait qu’il recevait ses instructions par une radio à ondes courtes, grâce à une sorte de code. Le visualiseur Ken Bell décrivit un homme dont les habits ressemblaient plutôt à des pyjamas gris, assis dans un appartement au 2ème étage d’un bâtiment, dans une ville bordée par une grande quantité d’eau.


Cet homme se trouvait avec deux autres individus, habillés plus normalement. Le duo ne parlait pas la même langue que l’homme interrogé, lequel était résolu à ne rien dire. Jim Morris, l’homme du contre-espionnage, confirma tout : la pièce au 2ème étage, les vêtements gris, les deux interrogateurs. Morris donna à Everheart les noms russes du fils et de la fille de l’agent du KGB. Lors d’une autre séance de visualisation, Ken Bell lui « parla » télépathiquement de ses enfants, et l’agent « répondit », disant que c’était censé être sa dernière mission, qu’il était sur le point de rentrer en URSS...

:face: Cas n°4 : Le visualiseur McMoneagle décrivit un crash aérien et repéra une personne suspecte ramassant une pièce de la carcasse et la dissimulant. Le sergent Riley décrivit pour sa part une forme volante aux ailes en forme de chauve-souris avec un cockpit bulbeux… Des années plus tard, Atwater vit un reportage sur le nouveau bombardier furtif B-2. Riley était donc parvenu à « voir » l’un des programmes les plus secrets du Pentagone. Les « cordes de lumière » perçues correspondaient aux fils de contrôle en fibres optiques.

:face: Cas n°5 : Certaines tâches de l’unité concernaient des cibles « domestiques » ; les responsables militaires voulaient savoir si leurs programmes secrets pouvaient être pénétrés par des visualiseurs. Une photo en noir et blanc montrait ainsi un hangar d’avions sur une base non précisée, l’armée ayant caché un char XM-1 expérimental à l’intérieur du bâtiment. On espérait que les autres hangars environnants, qui contenaient vraiment des avions, pourraient tromper les visualiseurs en leur faisant rater la cible. McMoneagle décrivit un instrument de type clavier relié à une sorte d’ordinateur. Un système optique était aussi concerné. Il vit de gros obus, puis le char d’assaut. Il dessina un croquis détaillé « digne d’un ingénieur, avec un diagramme en coupe du système de visée laser, du stockage et du chargeur des munitions, les verrouillages de la tourelle, le bloc-canon principal et le blindage high-tech spécial »...


http://www.mondeinconnu.com/dossiers/alaune/complots-et-groupes-occultes/espionnage-complots-et-gouvernements/1/
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MessageSujet: Re: ESPION VOUS AVEZ DIT ?   ESPION VOUS AVEZ DIT ? Icon_minitimeDim 1 Fév - 15:12

ESPION VOUS AVEZ DIT ? Espion2Pouvoirs Psy

Parmi les chercheurs impliqués dans les expériences de vision à distance, il y eut Hal Puthoff et Russel Targ, physiciens des hautes énergies spécialistes des lasers, qui rejoignirent en 1969 le Stanford Research Institue (SRI).

Ils voulaient utiliser des médiums pour l’espionnage à longue distance lors de séances de Remoting View, que nous appellerons RV.
Parmi les sujets ayant participé à la vision à distance, il y eut 2 grands médiums : l’artiste new-yorkais Ingo Swann et le mystérieux Patrick Price.


:suspect: Ingo Swann : un homme pas comme les autres

Un artiste de New York, Ingo Swann, contacta Hal Puthoff. C’était un sujet psi qui avait participé à des expériences parapsychologiques au City College de New York et à la Société Américaine de Recherche Psychique.

Il avait notamment modifié à distance la température d’une baguette de graphite et était sorti de son corps pour visualiser des objets cachés dans un laboratoire.
Alors qu’il résidait dans le Colorado, Ingo Swann avait eu des expériences de sortie hors du corps et de prémonitions ; il pouvait voir les auras des gens. Lorsqu’il quitta l’armée, il déménagea à Greenwich Village, travailla pour les Nations Unies, tout en peignant pendant son temps libre.
Puis il écrivit des romans populaires.


En 1971, il utilisa son premier prénom, Ingo ; il avait ajouté un « n » à son nom de famille sur le conseil d’un numérologue, et il avait découvert qu’il semblait avoir des dons psychiques inhabituels.
Il commença à gagner sa vie comme cobaye pour des laboratoires de parapsychologie.

En octobre 1972, Ingo Swann vint dans les locaux du SRI à Menlo Park pour une brève visite, et Puthoff lui fit faire quelques petits tests simples de clairvoyance.
Puthoff plaçait un objet dans une boîte en bois aux parois épaisses et cadenassées qu’il laissait dans une certaine pièce, et Swann, accompagné par un second chercheur, essayait de deviner ce qu’il y avait dans la boîte.

Un jour, 2 hommes de Washington apportèrent leur objet-cible qu’ils mirent dans la boîte.
Swann parla de quelque chose de petit, de brun, irrégulier, quelque chose qui ressemble à une feuille mais ‘beaucoup plus vivant et qui semble bouger’.
La cible était en fait… un gros papillon de nuit, brunâtre, ressemblant à une feuille.


Quelques semaines plus tard, Swann reçut un appel téléphonique de Puthoff qui lui dit que les 2 hommes, qui appartenaient à la CIA, avaient décidé de lui octroyer 50.000 dollars pour financer 8 mois de recherches supplémentaires...


http://www.mondeinconnu.com/dossiers/alaune/complots-et-groupes-occultes/cia-et-experimentations-secretes/1/
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MessageSujet: Re: ESPION VOUS AVEZ DIT ?   ESPION VOUS AVEZ DIT ? Icon_minitimeDim 1 Fév - 15:23


ESPION VOUS AVEZ DIT ? Felix_animAvec son nouvel ouvrage “Les armes secrètes de la CIA”, le journaliste d’investigation Gordon Thomas revient en détails sur les dossiers sensibles de cette agence dans le domaine de la manipulation mentale.

L’auteur a réussi à regrouper des centaines de documents officiels stupéfiants, qui prouvent que les Etats-Unis pratiquent la torture – physique et psychologique - depuis plus de 50 ans, et que derrière les ‘programmes de recherche’ de la CIA se cachent de terribles expériences sur des êtres humains...

Entre complots, groupes occultes et manipulation on fait le point sur un dossier resté longtemps top secret et couvert par le pentagone.


Des “sites noirs’ qui pullulent partout dans le monde

Pour contourner la législation américaine, les agences secrètes n’hésitent pas à transférer leurs détenus dans des “black sites”, des centres d’interrogatoire secrets où la torture est courante et échappe à tout contrôle.

Les Etats-Unis posséderaient ainsi des sites noirs dans les Balkans, au Maroc, en Egypte, en Ouzbékistan et dans divers pays d’Asie Centrale.
Quant au fameux centre de Guantanamo, il se trouve également hors de la juridiction américaine et échappe à toute contrainte légale.

Alvaro Gil-Robles, commissaire aux Droits de l’homme du Conseil de l’Europe, déclarait ainsi la veille d’une allocution de Bush : « Il semble qu’on ait créé un véritable goulag dans lequel la CIA peut accéder aux prisonniers en permanence ».

Un rapport secret intitulé “Techniques d’interrogatoire améliorées” que l’auteur a pu consulter permet et conseille aux membres de la CIA d’utiliser diverses formes de torture : coups au ventre, maintien en position debout pendant 40 heures, supplice de la baignoire (immerger le prisonnier jusqu’à la limite de la noyade), privation de sommeil, intimidations verbales et menaces...

Des méthodes plutôt étonnante

L’auteur a réussi à se procurer un document incroyable qui s’intitule “Méthodes d’assassinat”, et qui s’adresse aux agents de la CIA.

Pour la toute première fois, en voici quelques extraits... particulièrement édifiants.

:affraid: « L’assassinat désigne le fait de tuer avec préméditation une personne ne se trouvant pas dans la juridiction légale du tueur, hors de sa portée immédiate, et dont la mort a été décidée par une organisation qui y trouve un avantage ».

:affraid: « Il est possible de tuer un homme à main nues, mais peu de personnes sont suffisamment adroites pour le faire correctement. Cependant, un marteau, une hache, une clé anglaise, un tournevis, un tisonnier, un couteau de cuisine, un pied de lampe ou tout autre objet dur, lourd et aisément manipulable suffit. Ces armes improvisées présentes l’avantage d’être toujours disponibles et de sembler innocentes ».

:affraid: « L’accident calculé est la technique la plus efficace. Lorsque cette méthode réussit, elle suscite peu d’agitation et n’entraîne pas d’enquête approfondie ».

:affraid: « Pour l’assassinat, on a fréquemment recours aux armes à feu, et souvent de façon inefficace. Les bombes ou grenades ne doivent jamais être lancées sur le sujet. Cette méthode est imprécise, incertaine et impopulaire. Placer la charge subrepticement permet d’employer la bonne dose, mais exige de connaître l’emploi du temps du sujet ».

:affraid: « Les coups doivent être portés soit sur la tempe, soit sur la zone située juste sous ou derrière l’oreille, soit à la base du crâne. Evidemment, si le coup est suffisamment fort, n’importe quelle partie du haut du crâne convient également ».

:affraid: « La méthode d’assassinat la plus efficace est une chute de 20 mètres ou plus sur une surface dure. Les cages d’ascenseur, cages d’escalier, fenêtres sans protection et ponts peuvent s’avérer utiles. L’action peut s’opérer en tirant soudainement et vigoureusement les chevilles du sujet pour le faire basculer par-dessus la rambarde ».


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