Ce que le matérialisme cherche à nous faire oublier

Un peu de sagesse dans ce monde de fou :

http://www.lepost.fr/article/2008/06/24/1213216_ce-que-le-materialisme-cherche-a-faire-oublier.html

Oui merci Adeq, j'approuve à 100% sa façon de vivre, sa spititualité etc...

Je sais pas si vous avez regarder Ushuahia hier soir, mais sa façon de vivre et de voir la vie est très proche des indiens d'amazonie.

Ils sont plus heureux que nous en réalité !

ben voilà tu as tout compris ...

Le monde que l'on nous vends n'est que frustration , colère , égôïsme et on nous le vends comme le meilleur des mondes , en réalité nous en somme esclave ...

Pour qui pour quoi ?

j'ai tjs eté persuadé que la nature avait quelques choses de divin, y a pas longtemps je parlais d' alchimie créatrice d'esprit de la nature, mére nature, c'est mon premier amour, aprés maman bien sur !!

RHO de belles choses de dites !!!

:oops: Ouff maman à eu chaud

geranium a écrit:

RHO de belles choses de dites !!!

:oops: Ouff maman à eu chaud

lol pendant une seconde l intensité a faillit me faire oublier !!

Originaires de l’Arizona, les Hopis étaient des gens paisibles, vivant en harmonie avec les lois de la nature. Mais ils savaient que la paix ne serait pas éternelle. Leurs troublantes prophéties faisaient mention de la venue de l’homme blanc et de la destruction du monde…

Dan Katchongva, le dernier leader du Clan du Soleil, vécut durant plus d’un siècle (1865-1972). Cette longue vie lui permit de suivre l’évolution de son peuple, depuis la vie tranquille dans leurs villages jusqu'aux terribles persécutions dont ils furent les victimes. Ce grand sage eut l’occasion d'être le témoin privilégié du combat que se livrèrent le monde moderne et l'ancien monde. Dans une conversation datant de 1970, Dan Katchongva raconte l'histoire du « Peuple de Paix ».

La cosmogonie des Hopis

Selon leur légende, les Hopis furent créés dans le monde souterrain par le Grand Esprit, le Créateur. Tous égaux, vivant en unité, de manière spirituelle, ils étaient heureux et en paix, abondamment nourris par la Mère Terre.
Afin de demeurer paisibles, le Grand Esprit leur donna des lois à respecter. Ils ne devaient pas se laisser tenter par certaines choses, qui leur feraient perdre leur unique façon de vivre. Petit à petit, certains Hopis commencèrent à enfreindre les lois du Grand Esprit, en faisant ce qu’il ne fallait pas faire.
Il en résulta une grande division, car une partie de ce peuple aspirait toujours à vivre simplement, en suivant les instructions du Créateur. Les chefs et les grands prêtres prièrent pour recevoir de l'aide afin de trouver un moyen de résoudre la corruption. Quelqu’un suggéra de partir et de trouver un autre endroit pour commencer une nouvelle vie…
Eux qui habitaient le monde souterrain avaient souvent entendu des bruits venant « d'en haut ». Ils eurent l’idée de se rendre dans la partie supérieure du ciel. Par des chants magiques, de la fumée et des prières, ils créèrent plusieurs oiseaux (dont l’aigle, l’hirondelle et l’oiseau moqueur).
Seul l’oiseau moqueur réussit à atteindre le ciel de l’autre monde en passant par une ouverture. Le terre du nouveau monde était très belle, verte et en pleine floraison. La sagesse de l’oiseau le guida vers l'être qu'il cherchait : le Grand Esprit, qui l’accueillit respectueusement.
L’oiseau lui raconta qu’il était envoyé par les habitants du monde souterrain, qui souhaitaient venir habiter dans ce monde et commencer une nouvelle vie avec le Grand Esprit. Ce dernier leur accorda sa permission.
Les Hopis furent emplis de joie en apprenant cette nouvelle. Afin de se rendre dans le monde d’en haut, ils plantèrent un roseau, dont la cime parvint à percer le ciel et qui leur servit de sentier. Seuls les gens vertueux quittèrent le monde corrompu, grimpant sur le roseau jusqu’au nouveau monde.

La rencontre avec Massau'u

Le Grand Esprit, Massau’u, leur apparut pour la première fois sur cette terre. Il leur demanda de se séparer en groupes et leur donna des instructions pour vivre de la bonne façon. Massau’u posa devant les leaders des épis de maïs de tailles variées et leur dit de prendre chacun un épi pour avoir de quoi vivre et survivre durant leur voyage.
Ne réalisant pas que leur sagesse était mise à l’épreuve, les chefs prirent avidement les épis les plus longs jusqu'à ce qu'il ne reste que le plus petit. Celui-ci fut pris par l’homme le plus humble. Le Grand Esprit leur donna ensuite leurs noms et leurs langages, par lesquels ils seraient reconnus. Celui qui avait pris l'épi le plus petit fut nommé « Hopi ».
Hopi signifie « être paisible », mais aussi, avoir foi et obéir aux instructions du Grand Esprit, ne pas déformer ses enseignements pour le pouvoir personnel et, en aucune façon, ne corrompre la manière de vivre des Hopis. C’étaient les conditions pour pouvoir garder ce nom sacré.
Massau’u expliqua à tous les groupes qu’ils devaient émigrer vers les quatre coins de la nouvelle terre, laissant derrière eux des empreintes de pieds, des écritures sur les rochers et des ruines pour le temps où l’on aurait oublié qu'ils ne formaient qu'un, unis par un but commun lorsqu'ils arrivèrent par le roseau.

La première prophétie

Les Hopis voyagèrent durant de longues années vers tous les coins du continent, laissant des traces de leur passage. Ils acquirent de vastes connaissances durant leur périple, en n'oubliant jamais les instructions du Grand Esprit.
Un jour, le leader du groupe, un sage du Clan de l'Arc, partit à la recherche du Centre de la Terre, où les gens intelligents de toutes les nations se rencontrent pour planifier le futur. Ce grand chef trouva ce lieu et fut accueilli avec respect. Cette action marqua le début de la première prophétie, qui annonçait la fin d’un cycle de vie de ce monde. Cette prophétie mentionnait que de nombreux Hopis iraient vers le monde matérialiste, pour profiter des bonnes choses qu'il avait à offrir avant de détruire leur peuple. Le mode de vie sain enseigné par le Grand Esprit allait être corrompu…

Les tablettes de pierre et les lois

Les lois que donna le Grand Esprit au peuple Hopi avaient été inscrites sur des tablettes en pierre. Celles-ci contenaient un avertissement. Les Hopis devaient prendre garde, car viendrait un jour où ils seraient influencés par des gens mauvais afin d'abandonner leur façon de vivre en harmonie avec la Mère Terre. Il ne serait pas facile de résister au monde moderne et à toutes ses tentations.
Les tablettes de pierre et les écrits sur les rochers étaient souvent regardés par les anciens. Ils attendaient, dans la crainte, en se rappelant la prophétie selon laquelle une autre race allait venir pour revendiquer leurs terres.
Leurs prophéties les informaient que le sang coulerait. Leurs cheveux et leurs vêtements seraient éparpillés sur la terre. La nature leur parlerait avec le souffle puissant du vent. Il y aurait des tremblements de terre, des inondations et des feux en différents endroits causant de grands désastres, ainsi que des changements dans les saisons.
La vie sauvage disparaîtrait. La famine se manifesterait sous différentes formes. La corruption toucherait tous les leaders de la terre, et la confusion grandirait parmi les peuples. Les guerres surgiraient alors tels de puissants vents.

La fin du quatrième monde

Les Hopis affirment que nous vivons actuellement la fin du quatrième monde. Au début de cette ère, les humains se séparèrent pour aller vers les quatre directions. Une prophétie Hopi raconte que l’homme blanc partit vers l’est, et qu’il devait revenir vers le continent américain avec la paix et l’harmonie. Si cela n’était pas le cas, l’homme blanc détruirait la culture Hopi.
Celle-ci disparaîtrait au point de sembler inexistante, mais, un jour, les Hopis renaîtraient de leurs cendres et dirigeraient une révolution spirituelle. Cette révolution permettrait à tous les êtres humains de se connecter au Grand Esprit et de protéger les Quatre Coins sacrés.
La prophétie Hopi raconte aussi qu’un jour un homme blanc viendrait et les aiderait à transformer le continent en un paradis spirituel. Il serait reconnu parce qu’il apporterait avec lui les fragments d’une pierre qui compléterait la pierre sacrée Hopi.
Quand les hommes blancs se sont installés sur le continent américain, les Hopis les ont donc accueillis les bras ouverts, partageant leur territoire et tout ce qu’ils avaient. En retour, l’homme blanc n’a su que s’approprier leurs biens et leurs territoires. Les Hopis ont alors compris que ce peuple avait perdu son chemin. Ils attendent encore l’arrivée de l’homme blanc, le vrai, le bon. Thomas Banyacya, Hopi et Ancien, a écrit ceci : « Notre vrai frère blanc, quand il viendra, sera très puissant et il sera vêtu d’une cape rouge. Il ne sera d’aucune religion que la sienne propre. Il apportera avec lui un morceau de la pierre sacrée. Grande sera sa venue. Personne ne pourra confronter sa puissance ».

http://www.magazinelinitiation.com/articles.php?ID=380