L'exode du Paranormal
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 Victor HUGO

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geranium
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MessageSujet: Victor HUGO   Victor HUGO Icon_minitimeJeu 21 Jan - 23:52

Victor HUGO 684293 http://www.ina.fr/art-et-culture/litterature/video/CPF08009803/document.fr.html



Visite de Hauteville House, la maison de Victor HUGO à Guernesey où il s'était exilé avec sa famille. Il a lui-même décoré les murs de sa maison.
Chaque jour, chaque nuit, il faisait tourner une table pour interroger les esprits et notait toutes ses conservations. Un soir, c'est la visite du lion d'Androclès, personnage fabuleux de "La légende des
siècles". Extrait de cette conversation rapportée par Victor Hugo, dit (en off) par Alain CUNY, Roger RUDEL (?) et une comédienne (Mona Sanghor ?), illustrée par des figures fantastiques. Extrait du poème "Au lion d'Androclès" dit par Alain CUNY.

Dans son bureau, avec vue sur la mer, Victor HUGO écrivit "La légende des siècles" et dessina ses visions, des fantômes de paysages, des cathédrales englouties, des ciels avec ses planètes et ses
étoiles...



Les tables tournantes de Victor Hugo à Jersey. Vers une explication du mystère par Michel Rouzé - SPS
n° 256, mars 2003
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geranium
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MessageSujet: Re: Victor HUGO   Victor HUGO Icon_minitimeJeu 21 Jan - 23:58

Victor HUGO Victor_hugoVictor Hugo se trouvait en exil sur l'île de Jersey lorsque son amie Delphine de Girardin, qui se savait condamnée, l'initia en 1853 aux tables tournantes. Cette pratique issue du spiritualisme anglo-saxon, visait à tenter d'entrer en communication avec les morts. Hugo, pour qui les poètes étaient également des voyants, était ouvert à ce genre de phénomènes.
En outre, il croyait à la réincarnation.


Mme de Girardin attendait la fin du dîner avec impatience pour pouvoir présenter à son ami Hugo le miracle de la « table parlante », selon l'expression alors utilisée. Tous les convives posèrent leurs mains sur le plateau de la table, mais rien ne se produisit. Mme de Girardin dit que c'était la faute de la table dont la forme carrée empêchait le fluide de circuler. Le lendemain, elle acheta dans un magasin de jouets une petite table ronde, pourvue d'un pied central, et la plaça sur la première table.

Mais la table refusa elle aussi de se mouvoir. Mme de Girardin ne se laissa pas décourager, affirmant à Hugo que les esprits étaient des êtres libres, et pas de simples cochers en attente de clientèle. Après de nombreux essais infructueux, la table finit par se déplacer -sans raison apparente- et à épeler, en frappant des coups, des messages chargés de sens. A partir de ce jour, Hugo participa jusqu'en 1855 à d'innombrables séances, dont les résultats furent consignés dans des procès verbaux détaillés.

Parmi les « esprits » qui se manifestèrent à travers les coups frappés par la table se trouvaient des écrivains célèbres et des chefs religieux, mais aussi des animaux et des concepts abstraits qui, pour l'occasion, se personnifiaient.


Le poète Auguste Vacquerie (1819 - 1895), que Victor Hugo avait connu tout jeune, se trouvait présent lors de ces expériences. Dans son livre Miettes de l'histoire - vivant témoignage de sa fidélité-, il nous en donne un récit intéressant. Son frère Charles avait épousé Léopoldine, la fille préférée de Victor Hugo. En 1843, il s'était noyé avec elle dans la Seine, en tentant vainement de la sauver.

La mort tragique de sa fille avait plongé Hugo dans une profonde dépression, paralysant pendant
quelques années sa puissance créatrice. Au début, Auguste Vacquerie fit preuve d'un grand scepticisme vis-à-vis des tables tournantes. Lorsque arriva son tour de participer à l'expérience, il demanda à l'esprit de dire à quel mot il était en train de penser. Or, la table épela bel et bien le mot en question.

Par des mouvements musculaires involontaires, Vacquerie avait - semblait-il mis la table en mouvement, révêlant ainsi le mot qu'il entendait cacher. Lui-même pensa à un hasard pu à un « tremblement des doigts », qui l'aurait trahi.


Afin d'exclure tout facteur objectif, Vacquerie s'éloigna de la table, demanda à l'esprit de dire le mot auquel il pensait cette fois-ci. La table épela: « Tu veux dire "souffrance". » En réalité, Vacquerie avait pensé au mot « amour ». Mais, la souffrance étant universelle, ce mot, au sens figuré, aurait pu remplacer tout autre mot. Auguste fut loin d'être convaincu.
A partir de ce moment-là, la table cessa de donner des réponses aux questions-pièges qui étaient posées. Mais un autre « esprit » venait de s'introduire et exigeait d'être alors entendu. C'était l'esprit de Léopoldine.



La manifestation de cet esprit submergea d'émotion tous les participants. Vacquerie oublia son scepticisme pour se vouer corps et âme au phénomène des tables tournantes. Pendant des jours, il ne fit rien d'autre, renonçant même à s'alimenter pour ne pas interrompre les séances.

Par la suite, Victor Hugo afficha ses convictions concernant la survie de l'âme en déclarant publiquement : Ceux que nous pleurons ne sont pas les absents, ce sont les invisibles. Lors de l'enterrement de l'écrivain, cette phrase fut inscrite sur une couronne de fleurs portée par une délégation de la Société Scientifique du Spiritisme qui considérait que Victor Hugo avait été un porte-parole du spiritisme.
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MessageSujet: Re: Victor HUGO   Victor HUGO Icon_minitimeVen 22 Jan - 0:12

Si Allan Kardec devint au XIXe siècle le « pape du spiritisme », Victor Hugo en fut l’un des plus
célèbres adeptes. Sur cette bizarrerie de « l’homme océan », il nous a paru intéressant de publier à nouveau un article écrit il y a plus de vingt ans par Michel Rouzé, le président-fondateur de l’AFIS [1]. Il semble que la réflexion sur le spiritisme de Victor Hugo n’ait pas beaucoup progressé depuis la publication de cet article…



Au mois d’août 1852, Victor Hugo, chassé de France par le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte, se réfugie d’abord en Belgique, puis à Jersey, où il loue prés de Saint-Hélier, pour y vivre avec les siens, Marine Terrace, une maison isolée dans une vallée sinistre où s’engouffrent les tempêtes de la Manche.

Dans son ouvrage Victor Hugo et le spiritisme, le docteur Jean de Mutigny décrit cette demeure prédestinée à abriter bientôt des scènes étranges : « Pour tout paysage, la mer, les ruchers dantesques, un dolmen et un cimetière voisin pour égayer le tout. D’ailleurs la plage, si l’on fait foi aux habitants du pays, est hantée. On peut y voir, pendant les nuits de pleine lune, un décapité qui erre inlassablement à la recherche du repos éternel, il y a aussi la Dame blanche, jeune femme infanticide qui apparaît de temps en temps sur les rochers, une Dame noire, ancienne druidesse qui aurait immolé son père sur un
dolmen au cours d’une cérémonie et une certaine Dame grise, dont on ignore les antécédents ».


Séances presque quotidiennes pendant deux ans et demi [2]

C’est là que débarque l’année suivante, pour rendre visite au poète exilé, son amie Delphine Gay, l’épouse du publiciste Emile de Girardin, elle-même poétesse et considérée un peu comme l’une des égéries de la génération romantique. En ce temps la vogue des tables tournantes, venue d’outre-Atlantique, a gagné toute l’Europe.
En France, le Lyonnais Hippolyte Rivail découvre qu’il est lui-même la réincarnation d’un druide celtique et sous le nom d’Allan Kardec, il devient le pape de la religion spirite. A Jersey, où elle ne séjournera qu’une semaine, Delphine de Girardin convertit ses hôtes, d’abord sceptiques, puis bouleversés par une séance où s’est manifesté l’esprit de Léopoldine, la fille chérie du poète, morte noyée au cours d’une promenade sur la Seine. Désormais, durant deux ans et demi, les séances de spiritisme se poursuivront à Marine Terrace, presque chaque jour et souvent plusieurs fois par jour.

Les procès-verbaux, généralement dressés par Hugo lui-même, ont été publiés, au moins en partie, par son exécuteur testamentaire Gustave Simon. Ils viennent d’être réédités chez Stock, avec le commentaire de Gustave Simon. Par une coïncidence remarquable, sort presque en même temps, chez Fernand Nathan, le livre dans lequel le docteur Serge de Mutigny propose une explication scientifique de la genèse de ces textes trop peu connus et qui constituent vraiment une énigme.


Dialogues avec des morts illustres

Après l’apparition, brève et incertaine, de Léopoldine, et quelques séances assez ternes, le rite s’est
institutionnalisé et durant plus de deux ans Victor Hugo, sa famille et quelques rares invités n’ont cessé de dialoguer avec Chateaubriand, Dante, Racine, Marat, Charlotte Corday, Robespierre, Annibal, André Chénier, Mahomet, Jacob, Shakespeare, Luther, Eschyle, Molière, Aristote, Anacréon, Lord Byron,
Walter Scott, Galilée, Josué, Platon, Isaïe, Louis XVI, Napoléon 1er, Jésus-Christ, sans compter les fantômes familiers de Marine Terrace, la Dame blanche, la Dame noire et la Dame grise.


… et avec le double de Louis-Napoléon et le lion d’Androclès !

Et ce n’est pas tout, nous dit le docteur Jean de Mutigny : « A côté de ces personnages illustres,
morts depuis fort longtemps, il arrive aussi que des esprits vivants, mais endormis, viennent faire fonctionner le guéridon. C’est le cas du prince Louis-Napoléon qui eut la mauvaise idée d’envoyer son double dans la table de Marine Terrace, ce qui permit à Victor Hugo de le blâmer sévèrement pour ses
crimes. Les grands animaux de l’histoire firent l’honneur à Victor Hugo de se présenter à son appel. C’est ainsi que le Lion d’Androclès, l’Anesse de Balaam et même la Colombe de l’Arche vinrent molester le guéridon. Jusqu’à cette époque, l’homme ignorait que les abstractions de l’esprit humain possédaient
une âme. C’est une cruelle lacune… Le poète appela à maintes reprises les corps astraux de l’Idée, de la Mort, du Drame, de la Poésie, de la Critique, de l’Ombre du Sépulcre et même de la Blaque ! Et tous ces esprits lui répondirent ».



Ils lui répondirent en français, souvent en vers bien frappés, grandiloquents, bref très hugoliens. Parfois avec des hésitations, des remords, des rectifications. Il est étonnant que les spécialistes de Victor Hugo n’aient pas songé, à ce qu’il semble, à expertiser ce matériel littéraire où l’on surprend l’écrivain en plein processus de création, où l’on voit son verbe torrentiel encore en fusion comme une coulée de métal
avant qu’elle se solidifie dans son moule définitif.


Un secrétaire inspiré

Pour ce qui est du spiritisme en général et des tables tournantes, notre propos n’est pas d’en parler
aujourd’hui [3].
Avec le Dr Jean de Mutigny, on peut penser que les tables, ou plutôt les guéridons, ne sont pas remuées par des esprits, mais par les mouvements, généralement inconscients, de gens qui croient recevoir des messages de l’au-delà, et en fait ne les reçoivent que d’eux-mêmes. Mais à Jersey, ce qui s’est passé, c’est autre chose. Les pages de prose qui semblent jaillir tout droit des Misérables, les strophes qui pourraient figurer dans la Légende des Siècles, tout cela est évidemment du Victor Hugo, quand bien même il ne le sait pas et en attribue la paternité à Shakespeare ou au Lion d’Androclès.

Seulement voilà : le plus souvent Hugo n’est pas assis lui-même devant le guéridon.
Il laisse le soin d’officier à deux de ses familiers, parfois à un seul. Les autres sont là en témoins, parfois ils posent des questions aux esprits. Hugo, tout en posant lui-même la plupart des questions, assure le secrétariat. Il écrit, il écrit, plus tard il mettra au net les procès-verbaux qui nous ont été conservés.


Pouvoirs de médium et télépathie ?

Vous voyez bien, diront les spirites orthodoxes, les messages dictés par Annibal ou Jésus-Christ sont authentiques, ils ne sauraient être de Victor Hugo, puisqu’il ne touchait pas au guéridon, il ne faisait que compter les coups. Tout au moins avait-il des pouvoirs de médium : sa présence favorisait la Communication. Parmi ceux qui auront lu les textes, il se trouvera sûrement peu de gens pour accepter une telle explication. On peut alors se rabattre, si l’on y croit, sur ce que d’aucuns appellent les phénomènes para-psychologiques : les messages s’élaboraient bien dans la tête de Victor Hugo, il les transmettait par télépathie aux personnes qui manipulaient le guéridon.
Ou bien encore on peut combiner les deux systèmes : les esprits parlent à Victor Hugo et ce dernier, traduisant leurs messages dans son langage personnel, les transmet télépathiquement aux assistants.


Ou plutôt « écriture automatique » ?

Mais le docteur Jean de Mutigny démontre qu’aucune de ces explications n’est valable : « Prenons
un exemple, la séance du 17 décembre 1854 : les propos de Galilée… La séance a eu lieu entre 21 h 45 et 1 h 20 du matin, soit 215 minutes, presque 13000 secondes. Il existe à peu près 4 000 lettres dans le texte. Si l’on considère qu’il faut en moyenne dix coups frappés par la table pour définir une lettre (en considérant que la lettre A ne compte qu’un coup et que la lettre Z nécessite vingt-six coups), on en arrive à ce chiffre ahurissant de trois coups par seconde sans tenir compte des arrêts indispensables. La chose n’est pas possible. Avec la meilleure bonne volonté du monde il est totalement impossible, pendant deux ans et demi, de décrypter des messages matin et soir à raison de trois coups par seconde ».



Que s’est-il donc passé ? Il faut se rappeler que toute la maisonnée de Marine Terrace, Victor Hugo le
premier, avait intégré le spiritisme comme une véritable religion. Pendant les séances, sauf le cas assez rare de messages très brefs, les assistants ne pouvaient pas suivre et n’y comprenaient rien. Ils voyaient la table bouger, ils l’entendaient frapper, mais ce n’est que lorsque Victor Hugo avait transcrit les messages noir sur blanc qu’ils pouvaient en prendre connaissance.
C’est vraisemblablement au cours de ce décryptage, pense le docteur Jean de Mutigny, que Victor Hugo a fraudé sans le savoir, faisant ce qu’on appelle de l’écriture automatique. « Il était parfaitement honnête avec lui-même et avec les autres et c’est en toute bonne foi, croyant simplement décoder les messages spirites, qu’il a rédigé les révélations qui sont sorties de son esprit génial et non point de la bouche des esprits. » [4]


Une maladie mentale ?

Comment le poète a-t-il pu arriver à ce véritable dédoublement de la personnalité ? Le diagnostic du docteur Jean de Mutigny est simple Victor Hugo était atteint d’une maladie mentale appelée la paraphrénie fantastique.


Voici quelques-uns des symptômes de cette maladie, tels qu’on les trouve dans l’Abrégé de psychiatrie (Éditions Masson) : Début. La paraphrénie fantastique débute généralement avant la trentaine par une phase d’inquiétude et d’anxiété… Peu à peu, des idées extravagantes et des hallucinations se succèdent, qui visent non seulement les relations du sujet avec son entourage, mais tous les éléments, les conflits politiques anciens ou actuels, et surtout les forces cosmiques.


Période d’état. Le délire est une production luxuriante, extraordinairement étrange, de représentations mentales vives, décousues et mobiles. Les idées mégalomaniaques sont absolument démesurées et extravagantes.
On y trouve des idées de filiation illustre et surnaturelle (il est descendant de Christ sur la terre), d’héritages fabuleux, d’entrevues secrètes avec les grands personnages de la mythologie.


On décrit trois aspects cliniques principaux. Dans l’un d’eux, le malade se croit l’objet d’agissements magiques, d’envoûtements. Dans un autre (syndrome de Cotard fantastique) on observe un délire de négation englobant toute la réalité et portant sur l’absence des organes essentiels à la vie, sur des idées de transformation corporelle et d’immortalité du corps : « Rien n’existe plus et tout existe éternellement en moi ». Le malade expose, d’une façon détachée, ses thèmes de la fin du monde. Enfin, dans la paraphrénie cosmique, il jongle avec l’astrologie, le magnétisme terrestre, la métaphysique des sciences.

Il pense être le moteur universel, le centre des transformations cosmiques.


Successeur des grands prophètes

Certes, on ne peut dire que cette description se superpose trait pour trait à la personnalité de Victor
Hugo : aucun cas individuel ne peut correspondre exactement à un tableau clinique moyen. Mais les similitudes sont plus que troublantes. Dans toute l’œuvre, il serait facile de trouver mille passages qui justifient le diagnostic du docteur Jean de Mutigny, comme cette phrase des Travailleurs de la mer : « Je passe des nuits entières à rêver en présence de l’abîme ». Prés du guéridon de Jersey, la mégalomanie du poète se donne libre cours : « … Il est le nouveau messie, le successeur de Moïse, de Mahomet et de Jésus. Il parle à ses illustres invités sur un plan d’égalité, voire de supériorité : en complétant leurs révélations, il leur est supérieur ». […]


Un beau sujet de thèse

Bien sûr, les paraphréniques ne produisent pas tous des poèmes dignes de la Légende des Siècles ou de l’Ane.
Il faut encore être Victor Hugo, ce qui n’est pas donné à tout le monde. On touche ici à un problème qui a déjà fait couler beaucoup d’encre : les complexes rapports du génie avec la folie. Sans apporter de solution définitive – car il reste encore des détails mal expliqués – la thèse défendue par le docteur Jean de Mutigny apporte une contribution majeure à un débat qu’on souhaiterait voir s’ouvrir avec toutes les pièces du dossier : les procès-verbaux originaux qui se trouvent à la Bibliothèque Nationale, les récits des
participants aux séances jersiaises (plusieurs ont été publiés), une analyse psychologique, non seulement de Victor Hugo lui-même, mais du délire collectif qu’il entretenait autour de lui. Quel beau sujet de thèse psycho-littéraire pour qui voudrait entreprendre un tel travail !



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MessageSujet: Re: Victor HUGO   Victor HUGO Icon_minitimeVen 22 Jan - 0:13

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"La légende des siècles" :


http://fr.wikisource.org/wiki/La_L%C3%A9gende_des_si%C3%A8cles_%281859%29
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